mercredi 13 septembre 2017

Sur un air de Ré

Pour ces 2 semaines de vacances, nous avons revu nos ambitions à la baisse… nous nous étions enflammés en projetant Rodrigues, mais les 20h d’avion avec correspondance, le vent qui n’est pas assuré, les vagues qui ne seraient pas phénoménales, la destination qui n’est pas si adaptée à un bébé d’après nos infos, puis mes parents qui n’avaient pas vu Adèle depuis longtemps, un besoin de se poser sans trop faire de kilomètres, pour respecter entre autres le rythme des siestes et nuits (déjà assez compliquées), nous avons choisi d’allier le Cap-Ferret et l’Ile de Ré.

La 1ère semaine le temps a été plutôt chaud, et s’est dégradé petit à petit, j’ai dû naviguer 2 fois en foil (dont une mémorable, où j’étais content que le jet ski vienne me secourir, car j’avais un peu joué avec les distances et limites du vent…), faire aussi 2 belles sessions en surf. La petite s’est bien amusée avec ses grands-parents, que ce soit au manège ou à l’aire de jeux, dans la piscine gonflable ou en bord de mer. Bien sûr nous avons pu voir ma sœur et mon frère, sans oublier Roméo lors de l’anniversaire de Lilou, ainsi que nos copains lyonnais/hollandais qui habitent maintenant à Bordeaux.

La 2ème semaine a été plus aléatoire au niveau météo, j’ai pu faire plus de foil, mais les spots n’étaient pas évidents pour que Sigo débute (shore break, plage réduite), et juste avant de partir une dépression m’a permis de profiter des vagues malgré une eau qui s’était bien refroidie. Le reste du temps nous avons profité de longues randonnées à vélo, en général chaque matin, des jeux et du poulailler au camping, et surtout de la yourte que nous avions loué pour un prix défiant toute concurrence (83 euros/semaine) grâce au CNAS de Chalon (CE du boulot de Sigo).

Pour terminer, nous sommes passés en terres charentaises visiter nos amis de longue date. Mon pote m’avait organisé une sortie VTT dimanche matin, c’était excellent il avait invité nos anciens copains grimpeurs, même si j’en ai bavé j’ai pu les suivre et cela m’a presque donné envie de m’y mettre. La reprise au boulot s’est faite tambours battants comme en partant ; enfin j’ai des cours en anglais 2 après-midi par semaine qui permettent de m’évader et finir plus tôt, sachant que je ne veux pas recommencer « l’esclavage » de l’été, la pression à outrance supportée.

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