Dans ce genre de conditions, où en plus la plage ne dépasse pas la longueur des lignes (27 m) en largeur, mieux vaut contrôler 2 à 3 fois ses connections, et décoller l’aile sans à coups aidé par un expert, sinon cela peut vite finir à l’hosto. Au bout de 30 mn à « survivre », où la planche touche rarement l’eau, les déferlantes fauchent les jambes, le gars qui vous croise vous envoie une gerbe qui ressemble à une claque de grêlons, il décide d’atterrir le jouet volant… il apprend alors qu’il vient de faire son baptême dans du force 8 (rafales relevées à 40 nœuds !).
Un peu dégoûté d’avoir fait la route, il compense par une séance photos réussie grâce à un superbe coucher de soleil, sous une chaleur étouffante. En filant un coup de main aux courageux qui arrêtent, il découvre alors que ni sa barre ni les nœuds étaient sur le réglage adéquat, cela rassure pour la prochaine cela devrait être une session plus agréable.
Le retour dans la Drôme sera exténuant, un vrai zombi qui débarque à minuit.
Sigo dès 9h est levée le samedi, garde à vous direction trapèze, lorsqu’elle rentre mister dort toujours. Le temps de déjeuner, nous attaquons avec Catherine et Michel le rangement du petit hangar, au programme les charges lourdes… grosse déception, nous ne faisons que déplacer d’un endroit à un autre. Petit interméde pose de la canisse sur la véranda, l'occasion pour Olivier de se prendre 2 piqûres de guêpes !
Lors de la pause, nous mesurons la température au fond du puits (sans l’atteindre > 30 m) à 12°C contre 24 sous abri. En cadeau, nous avons droit à un clafoutis aux cerises mortel, histoire d’aggraver le régime resto de notre auditeur ;-(
Le retour dans la Drôme sera exténuant, un vrai zombi qui débarque à minuit.
Sigo dès 9h est levée le samedi, garde à vous direction trapèze, lorsqu’elle rentre mister dort toujours. Le temps de déjeuner, nous attaquons avec Catherine et Michel le rangement du petit hangar, au programme les charges lourdes… grosse déception, nous ne faisons que déplacer d’un endroit à un autre. Petit interméde pose de la canisse sur la véranda, l'occasion pour Olivier de se prendre 2 piqûres de guêpes !
Lors de la pause, nous mesurons la température au fond du puits (sans l’atteindre > 30 m) à 12°C contre 24 sous abri. En cadeau, nous avons droit à un clafoutis aux cerises mortel, histoire d’aggraver le régime resto de notre auditeur ;-(
1 commentaire:
Même les guêpes l'adorent l'Olivier, quel charisme
quelle vedette, quel homme
Lionel
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