mardi 30 septembre 2008

Contre la publiciT

Utilisons les enveloppes T !!!

Chaque jour, malgré notre autocollant antipub, nous vidons notre boîte aux lettres de prospectus que nous ne lisons jamais, nous constatons des quantités de papiers dépensées inutilement.

Au cas où vous ne le saviez pas, le principe des enveloppes T est le suivant : seules celles qui lui sont retournées, sont payées par le publicitaire concerné. Afin de protester l'astuce est alors simple, elle revient à garnir l'enveloppe des jolis dépliants reçus, en écrivant ce qui vous passe par la tête selon votre agacement du jour, puis la poster...

lundi 29 septembre 2008

En désespoir de kite

Jusqu'à jeudi les prévisions nous ont tenu en haleine, malgré la route avalée la semaine précédente nous étions bien chaud pour se rendre à Hyéres. Badaboum le vent a décidé de souffler à 10km des côtes, nous avons dû renoncer.

A la place vendredi soir et le lendemain matin Sigo a fait du trapèze, ou plutôt s'est laissée balancer, pendant que Olivier a continué de travailler sur son portable, ou a dormi grassement.
Samedi après-midi nous sommes partis avec Catherine et Michel faire des emplettes "Lafumesques", puis avons visité les serres des jardins de Cocagne à proximité.

Avant la tombée de la nuit, Olivier a pu fixer sur la pellicule (numérique ?) la brouette rituelle de courges plutôt mieux dotée http://sigolive.blogspot.com/2007/10/photo-traditionnelle.html comparée à l'an dernier, et qui cette fois ressemble à une photo de calendrier PTT (oh le mignon p'tit chat chat).

Dimanche matin a eu lieu une séance d'équilibre pour tous, sur les vélos couchés de Sylvain et Laure. Nous essayons 2 modèles, avec guidon sous ou sur les cuisses. Pour eux, véritables globetrotters à 2 roues, sans hésiter leurs drôles d'engins sont largement plus confortables que ceux classiques, reste qu'il faut minimum 500 à 1000 kms afin de dompter réellement la monture...

Ensuite nous sommes allés grimper à Rochefort Samson, notre accompagnateur Alain qui connaît le site par coeur nous a ouvert une belle voie en crête, Spigolo (D+ en 3 longueurs). Sigo "randonnait" dedans, telle un bouquetin en ballade, alors que Olivier à cause de l'ambiance aérienne (vertige) "broutait" souvent, tel une tortue qui digère mal. Enfin pour une reprise nous étions contents, encore plus en découvrant le retour ludique style initiation canyoning dans les gorges, où il fallut enjamber les toboggans et marmites à l'aide de cordes déjà installées.

vendredi 26 septembre 2008

Pré-anniversaire Jean-Louis

Pour cette fête dans le pays basque, mieux valait encadrer le week-end par 2 ARTT, histoire de respirer sur le trajet sous un soleil en plus fidèle du début à la fin.

Vendredi après avoir bien analysé les prévz et orientations, les ailes à l'horizon, nous nous posons au spot du téléski (nautique) à Barcarés. Comme d'habitude Olivier démarre, quelques bords pour s'échauffer, puis il suit 2 locaux vers l'île aux Lapins (ça ne s'invente pas ;-) : il en parle encore les yeux pétillants, jamais il n'a atteint ces vitesses sur l'eau, dans 5 à 10 cm protégé par cette langue de terre peuplée de canards (et oui), avec un vent off shore la surface de l'eau parfaitement plate, aucun bruit la planche qui file... nous avons hâte de partager ces instants magiques ensemble !

Au tour de Sigo le décollage est plus rock'n'roll, limite catastrophique, car elle évite de justesse une autre aile dont la sécurité a lâché, ce qui est rarissime. Elle tombe lourdement à terre, dommage à côté du tapis d'herbes "molletonnées", heureusement elle reste calme et maîtrise. Non sans une certaine fierté elle hérite d'une belle blessure de guerre (Olivier voyons, pas taper quand elle est méchante), ce qui ne l'empêche pas de bien profiter du reste de la session et caper de mieux en mieux.

Au coucher du soleil nous repartons, finalement nous atteignons peu avant minuit la Bastide Clairence à Eyhartzea, étonnés de voir la famille presque au complet qui nous accueille http://www.ledomainebasque.com/

Samedi nous allons à l'encontre des Toulousains au village, cette sympathique marche ouvre l'appétit et nous permet de découvrir le conteur de parfums Christian Louis haut en couleurs. Ce personnage intarissable nous présente Iris pour femme, puis Usain Ona à la flagrance du loup pour homme, tout un poème, et même un roman http://www.lemarcheduparfumeur.com/index2.html
Tandis que Roméo s'amuse avec notre nouveau jouet, un mountainboard (MTB), nous piquons une tête dans la piscine, le déjeuner s'organise autour, Jérôme et Julien trouvent quand même le moyen de dévaler la pente à 2 sur ce skate équipés de pneus.

L'après-midi les groupes se séparent selon les envies, certains vont à l'océan, d'autres à Espelette (où nous passerons plus tard), les plus pépères se reposent. Sans demander notre reste nous traçons à la Rhune, plus haut sommet de la région, et à 5mn près nous embarquons dans le dernier train. Au sommet à 905m, même si la vue est légèrement bouchée, nous entrevoyons les plages au loin. Le retour suit un sentier varié sur 736m de dénivelé (1h30 en courant dans les sections plus pentues, ça fait moins mal aux articulations), où nous croisons une race de poney typique du coin, le pottock http://www.rhune.com/pages/fr/19/carte-interactive.html

Au dîner menu marocain, couscous avec merguez au barbecue éclairé par les phares de voiture, loukoums et autres desserts en pagaille, un délice, notre hyperactivité de journée laisse place à une hypoactivité du soir. Ceux qui ont la pêche font le spectacle, autant sur le dancefloor que sur la piste de jeu (Time's Up) ; Jérôme et Guillaume font encore des étincelles avec improvisation techtonik, rejoints par Christine, ainsi que Vanina et Aurore en grande forme.

Dimanche il faut déjà rentrer, retrouvailles trop courtes finalement, nous fermons la marche et mettons le cap vers Pamiers, où nous attendent des amis de Sigo rencontrés à Lus La Croix Haute. Au passage nous traversons des lieux intéressants, tels que le Mas d'Azil et sa grotte, ou Rieubach et ses petites chapelles. La soirée est bien agréable dans leur nid en labyrinthe, bercés par les morceaux d'accordéon et de flûte traversière de Lola et Jean-Luc.

Lundi direction Carcassonne et sa cité, nous passons devant, il serait bête de s'en priver surtout que les touristes ont pratiquement désertés toutes les murailles et ruelles.
Au péage de Montpellier nous faisons un court arrêt faire nos courses du midi, où Olivier a aussi RDV avec un coureur sponsorisé (impossible de résister à l'occaz dénichée, une planche nickel de l'année -50%). Quand nous arrivons à Port Camargue, le vent est malheureusement tombé, nous faisons un dernier détour à l'Espiguette puis un oeil sur la montre nous décide à plier bagages... l'autoroute et ses 1600 derniers kms sauront nous achever.

PS. Les Tipoussins vont pas être contents, nous ne voulions pas les déranger dans leurs cartons.

jeudi 18 septembre 2008

Et pi fé tout !

Après 18 mois à déserter le moindre bassin, notre inscription a été prise à la piscine du coin. En parallèle Sigo continue la gym, Olivier réfléchit à reprendre la guitare.
Côté escalade en salle, on abandonne : 3 pauvres essais en 1 an, y'a pas, les vraies prises qui vivent, accroché à une corde de 70m c'est plus mieux, composer selon son physique, grimper avec notre pote Chriss, pich-niquer sous un rayon de soleil, découvrir de nouvelles falaises...

dimanche 14 septembre 2008

On se partage

Entre l'anniversaire de Philo (près de Lyon) et l'enterrement de vie de garçon de Kamel (à Dunkerque)... mais aussi le vent qui soufflait (2ème week-end de septembre, décidément) il a fallu faire un choix : laisser à nouveau de côté le kite et se séparer.

Dès vendredi soir Olivier a donc pris le TGV pour Lille, car le début des festivités commençait le lendemain à 8h, heure où son ex-collègue a été saqué du lit. Le mot d'ordre de ses 20 bourreaux était unanime : il va payer !
Vêtu en homme de cro-magnon, pour ses 13 ans de vie commune avec Aline, il a donc subi 13 épreuves majeures, cagoulé (et abreuvé de divers mélanges) à chaque voyage en voiture pour ne pas savoir où il allait. En vrac, il a dû faire l'aumône, porter des gens sur son dos, écrire K sur la peau de 50 passants, acheter des préservatifs avec sa mère, boire l'eau salée, se tremper jusqu'à la taille, servir des clients à une terrasse de café, chanter sur un banc, servir de cible...
Coup de bol le temps a tenu, car l'activité principale était un paintball, dont certains garderont d'ailleurs des traces de tirs à bout portant. Le soir, ils se sont retrouvés à une 30aine avec les filles dans un resto guadeloupéen jusqu'à 2h du matin (réveil et retour rudes sur Lyon dimanche).

Sigo elle, a volé dans les airs vendredi après-midi, profitant d'un ciel menaçant mais pas encore pluvieux. Elle a ainsi balancé, tranquillement... jusqu'à un certain trapèze qui percuta violemment son majeur droit (diagnostic au bout de 48h : rien de cassé). Le lendemain la pluie est venue gâcher le possible entrainement, ce qui lui a permi de rejoindre au plus tôt Cressin Rochefort dans l'Ain, pour les 30 ans de Philomène... 2h30 de route fatigante. La journée a été frisquette, heureusement que l'ambiance chaleureuse a rattrapé le tout.

Dimanche Sigo ne s'est pas reposée, car Catherine et Michel sont venus la visiter. Ensemble, accompagnés de Gilles, Franck et compagnie, ils ont assisté au superbe défilé de la biennale de la danse.
Vous pouvez visionner d'autres photos sur : http://www.grandlyon.com/Biennale-de-la-danse-2008-le-defile.3686.0.html

mercredi 10 septembre 2008

Visite papa maman Sigo

La honte depuis bien 6 mois nous n'avions pas vu Gilles, Joëlle, Lucile et Sonia, nous les avons donc invité vendredi soir au resto pizza à volonté de Claveyson. Sigo (qui avait fait 2 ou 3 pauvres ballands au trapèze) et les 2 filles étaient malheureusement crevés de leur rentrée, ce qui n'a pas empêché les 3 restants à bien discutailler (Olivier, moulin à paroles ?).

Samedi l'alerte orange Météo France a été confirmée, il a plu à très grosses gouttes dans la Drôme des collines, jusqu'à provoquer des glissements de terrain, torrents de boue + sable + galets, bitume arraché, inondations monstre. De mémoire d'anciens, la dernière crue de la sorte datait de 1946. Le matin Catherine et Noé devaient se rendre au dentiste à St Donat, ils ont compris qu'il valait mieux faire demi tour. Lors d'une légère accalmie, Olivier voulait se déplacer en voiture, la sagesse l'a rappelé à l'ordre, finalement il nous a décidé à venir constater l'étendue des dégâts (1 km à la ronde) à pieds.

Dimanche par miracle le soleil a brillé et séché le sol, nous avons continué notre régime haricots (après soupe au pistou, salade). Autre surprise, en démontant les toilettes séches Sigo est tombée nez à nez avec un énorme nid de frelons, à son cri succéda un sprint record !

Gilles et Franck nous ont rejoint dans l'après-midi, ce qui nous a poussé à une nouvelle rando jusqu'à un point de vue intéressant sur le Vercors.

lundi 8 septembre 2008

Révélation

On nous avait conseillé cette toile (qui rend moins bien sur petit écran), une histoire vraie qui marque, accompagnée de sa musique d'Eddie Vedder (chanteur du groupe Pearl Jam, préféré d'Olivier).


Synopsis : "Tout juste diplômé de l'université, Christopher Mc Candless, 22 ans, est promis à un brillant avenir. Pourtant, tournant le dos à l'existence confortable et sans surprise qui l'attend, le jeune homme décide de prendre la route en laissant tout derrière lui.
Des champs de blé du Dakota aux flots tumultueux du Colorado, en passant par les communautés hippies de Californie, Christopher va rencontrer des personnages hauts en couleur. Chacun, à sa manière, va façonner sa vision de la vie et des autres.
Au bout de son voyage, Christopher atteindra son but ultime en s'aventurant seul dans les étendues sauvages de l'Alaska pour vivre en totale communion avec la nature."

jeudi 4 septembre 2008

En presqu'île bretonne

Coquillages et crustacés, sous la plage ensoleillée... doux rêve, puisqu'aux environs de Crozon en 5 jours nous n'avons bronzé que 5h cumulées, puis heureusement du matin au soir le 6ème et dernier jour. Olivier se souviendra de son unique session en kite (45 mn) réalisée, et de toutes celles imaginées en repérant des spots paradisiaques... ça lui apprendra, s'il avait amené son surf, des vagues il en déroulait tout le temps !
Niveau route, de Charente à l'aller elle a été plutôt courte, comparée aux 10h harassants du retour (heureusement sans embouteillage).

En priorité, nous remercions nos locaux Pascale et Michel (amis de Catherine) qui nous accueillaient, nos précieux guides, nos maîtres crêpiers (même si cette satanée bilic accrochait ;-), mais aussi le reste de leur famille avec qui nous avons passé une sympathoche soirée à Brest.
Dans le pentis qui leur sert de gîte, nous avons été de véritables coqs en pâte, l'adaptation aux toilettes séches s'est faite facilement (de mémoire, Sigo n'a jamais vidé le seau...).

En absence de vent et soleil, une température inférieure à 20°C avec un crachin omniprésent, une seule fois nous avons fait nos touristes en allant à l'Océanopolis, observer 3 mondes marins : tempéré, polaire et tropical. Sinon nous avons amplement profité des paysages merveilleux du Finistère, façonnés selon les humeurs tempétueuses de l'océan.

La plage de Pentrez, non loin de Dinéault, un billard parfait à la marée basse pour la pratique du char.









Le village de Douarnenez et ses façades décorées à la mode pêche (certaines récups plairaient à Hélène), les habitations typiques.









Le mont du Menez Hom, point de rassemblement des parapentistes et planeurs téléguidés, au milieu des bruyères multicolores.









La côte déchirée en direction de la pointe du Raz, avec pause au cap Sizun, la pointe du Van et le port d'Audierne.













La Baie des Trépassés et la pointe de la Torche, spectacle des surfers assuré.










Les dunes sauvages de Keremma, ou celles de Ste Marguerite, de jolies bassines.










Certains bateaux ou navires abandonnés, à Camaret ou encore Landèvennec.









La randonnée a été notre unique activité sportive, 2 demi-journées sur le chemin des douaniers :
- de St Hernot à La Palud en passant par le cap de la Chèvre, comme Florence nous avait prévenu, se succédaient 2 végétations totalement différentes.










- de Morgat à St Hernot, au programme bronzette et baignade frisquette dans la petite baie, face à l'île Vierge.













Nous reviendrons, aucune hésitation, danser le Fest-Noz, découvrir d'autres lieux (par exemple la côte de Brest à l'Aber Wrac'h, Concarneau, les îles), pourquoi pas grimper, descendre l'Aulne en kayak... comment rester insensible à la Bretagne malgré son climat !

Halte angoumoise

Reçus comme des rois chez Jérôme et Cathy (au ventre comme une tomate... légume phare du moment), cette étape de 36h a été riche de retrouvailles.

Le samedi après une visite du terrain de leur future maison et, un peu plus loin, du grand jardin potager de nos deux tourtereaux, la journée s'est enchaînée ainsi :
- studieuse pour Olivier, qui était entendu par la gendarmerie en tant que témoin d'une affaire louche dans son ancienne agence,
- plus détendue pour Sigo, qui a réussi son marathon ; Monique de 14 à 15h30, Dominique de 15h30 à 17h, rejoint par son homme (y'a pas que lui d'ailleurs qui maîtrise les plannings improvisés et bien remplis) Audrey de 17 à 18h30, à déguster le thé, prendre des nouvelles de chacun, évoquer de bons souvenirs...
De 18h30 à 20h30 nous avons attaqué la pré-soirée (un peu plus nous mangions 2 fois) chez Florence et Lionel, rentrés à peine des volcans d'Auvergne (la preuve étant le monticule spongieux de sable dans le bac tortue fait par Lise et Noé ;-), rejoints par Sylvie et François, qui nous ont raconté leur déboires, poursuivis par les nuages.

Enfin, la ratatouille du soir promise par Stéphanie se transforma en couscous royal et garbure impériale, partagés avec Sabrina et François en plus. Nous avons été tellement impressionnés par leurs travaux, que le rendez vous a été pris chez eux lors de notre prochain passage.

On va pas vous envoyer un bristol, mais à Lyon vous venez quand bon vous semble !

En presqu'île girondine

Vous l'aurez sans doute remarqué, nous ne sommes pas doués dès qu'il s'agit de raconter nos vacances, la durée est trop longue, notre mémoire flanche, il faudrait prendre des notes... enfin le blog deviendrait rébarbatif, non merci.
Laissons alors place au spontané, tiens aux photos en priorité, Romain sera content !

Notre départ fut mouvementé (c'est d'un banal) ; après la rupture de caténaires indéterminées, le train de Sigo finit par arriver à Vénissieux, ce qui permit à Olivier d'être à l'heure (cela mérite d'être signalé). Au bout d'un voyage ponctué de trombes d'eau, nous arrivons au Cap-Ferret sous un bel arc en ciel de bienvenue, yes le vrai début de nos congés payés !
Pour résumer nos journées type, Olivier souvent donnait le ton, se basant sur les prévisions météo, la force et orientation du vent, en clair pour caricaturer : avance ou crève ? mais on l'aime bien.

Le matin, la grisaille était commune, nous aidant à traînasser au lit ("feignasses" comme dirait Lionel), déguster le pain frais ramené par Yves, avant de courir avec Denis, ou marcher avec Hélène et Annie, se rendre au marché.

Aux déjeuners et dîners, Hélène nous préparait des mets succulents (c'est d'un banal aussi, de peur d'être déçus nous ne sommes pas allés au resto).

L'après-midi, en fonction de la plage :
- côté bassin nous sortions en catamaran -> bon score, 3 sorties au compteur dont 1, remorqués pour cause d'avarie.









- côté océan Olivier chargeait sa mulet chérie pour ne jamais se servir de tout le matériel (il a boudé son surf) -> score mitigé, 2 sorties courtes et poussives avec l'aile tracteur, Sigo préférant rattraper son retard en lecture de magazines féminins.









Le soir, en général nous étions invités à droite à gauche chez les amis des parents d'Olivier, c'était très sympa avec un Michel qui assurait l'ambiance (dommage, nous avons raté de peu de dépoilage imprévu d'Yves).









En extra, nous n'oublierons pas les parties de ping-pong avec Jérôme et Roméo :













Accompagnés par les airs d'accordéon de Sigo, et sous l'oeil de la paparazzie Emilie, toujours prête à photographier Guillaume CANET (vé-ri-dique), et qui n'a pas manqué pas de nous motiver pour notre don du sang :













La sortie formidable au banc d'Arguin, avec un beau pique-nique entourés par les oiseaux et la mer (vous moquez pas de l'anglais tout blanc sur la photo) :










Les parapentes colorés (qui fascinent de plus en plus Olivier) sur la dune du Pylat :










Le baptême de Sigo en ski nautique, et l'expérimentation d'Olivier avec son kiteboard transformé en wake :
photos qui seront mises en ligne à partir du 23/9

Des vagues déchaînées, qui vous tirent de façon monstrueuse :









Ce genre de couchers de soleil, romantiques :

Enfin dans le désordre, le tour en Lotus avec Charlie, la bonne humeur de Floriane... merci encore à tous.