mercredi 29 octobre 2008

samedi dimanche à Bamako

Petit clin d'oeil à un titre qui a trotté dans la tête ce week-end, lors duquel nous sommes bien restés sur notre continent, en Auvergne précisément. Vous pouvez cliquer sur ce lecteur exportable, la musique vous accompagnera au fil des lignes.


Découvrez Amadou & Mariam!


Dès vendredi après le boulot, nous retrouvons donc Chriss sur une aire d'autoroute avant St Etienne. Pour le covoiturage nous laissons une voiture devant l'immeuble de Mamylène (Martel), le temps de lui faire un petit coucou nous avons déjà 1h de retard. Vers 20h30, après avoir tourné une bonne 1/2 heure dans Clermont à cause du "GPS Olivier" mal relié au "satellite Noé" nous arrivons enfin à bon port. Un peu comme nous le cadre de leur appartement n'est pas le summum, ce qui n'empêche ils ont de la place et le prix défie toute concurrence.

Le dîner restera gravé dans nos mémoires, sincèrement Alex et Noé nous ont bluffé, au menu : verrine avec mousse carotte/pomme de terre sur le dessus, tapenade maison dessous, plat à base de courgettes et courges caramélisées, galettes de poisson, dessert mousse au chocolat que nous finirons le lendemain matin... où d'ailleurs la prestation du petit-déjeuner a été très en deçà, nous tenons à le notifier dans le "compte-rendu d'audit" !

Lever tôt samedi, nous déposons nos 2 tourtereaux à la gare, Alex soulagée de quitter un Olivier particulièrement vanneur.
Sans nous perdre cette fois, en 1h à peine nous atteignons le Mont-Dore, après avoir traversé des paysages superbes, où les nuages et montgolfières semblaient en pause accrochés au ciel.

Nous déposons nos affaires au refuge CAF, enchantés par la salle principale équipée d'un énorme poële, un mur d'escalade intérieur (adresse à retenir). En ville nous avons besoin de faire un plein de bouffe, le St Nectaire est prioritaire, le pq et les binouzes aussi ;-) Histoire de tuer un peu le temps, Olivier fait essayer le mtb à Chriss dans un champ, puis sur la route bien plus lisse et rapide.

Nos angoumois nous rejoignent enfin (Florence, Lionel et François), c'est le moment de casser la croûte ensemble sur la terrasse ensoleillée, de manger entre autres la tarte aux pommes préparée par Sigo, un cake salé, du pur sauciflard des Pyrénées... en bref partager ce plaisir de se retrouver.



L'après-midi est consacrée à la couenne, les filles enchaînent 4 voies (bravo à la reprise pour Flo) les garçons 6, cela permet de se mettre en confiance pour le lendemain. Avant que la nuit tombe, nous partons contempler les belles couleurs sur le rocher et la forêt de Malviale, ou le lac de Guéry. Une petite rando au col de la Croix Morand nous permet d'atteindre un joli panorama sur la chaîne des volcans, le Puy de Sancy, Ferrand... c'est à cet endroit que nous vient l'idée de se refaire un plan en hiver, organiser pourquoi pas une initiation snowkite (région qui s'y prête) ?











Le soir après la douche et une bière chacun, nous sommes carpettes, bercés par les airs d'accordéon qui nous vaudront une valse de Chriss et Lionel. Au repas Olivier se fait péter le bide en finissant le lapin au riz de la table d'à côté, puis avant de nous coucher nous grappillons quelques forces pour jouer au tarot.

Dimanche nous décollons vers 9h, objectif ascension Dent de la Rancune (100m) dans la vallée de Chaudefour, par la voie Bobo en 6b puis 5c-5c-5c.
Flo qui la connaît préfère randonner seule, nous formons alors 2 cordées. La 1ère longueur est coriace puisque sur un pas François bloque, ce qui oblige Lionel à passer devant et poser une "pédale" salvatrice.














Le rocher par sa chaleur et difficulté nous fait bien déguster, il est évident que c'est plus dur que la veille, Sigo n'arrête pas de se plaindre (une vraie machine anti-plaisir). Coaché par Lionel, Olivier monte en tête sur la 2ème longeur, à la fois il se concentre, débranche le cerveau sur 2 à 3 passages et surtout ne regarde pas à droite où le gaz lui paraît sévère.
Dans la 3ème longueur (bien continue) nous avons tous hâtes d'atteindre le sommet, les placements dans une cheminée puis fissure ne sont pas des plus aisés mais François et Lionel s'en tirent encore admirablement = savant équilibre entre économie et effort qui s'acquiert avec l'expérience, petit scarabée.














Hop une petite photo de groupe, un petit ravitaillement, nous tirons tranquillement nos rappels pour la descente. Affamés comme des loups, nous pique-niquons au col de la Croix St Robert, mélangeant toutes nos victuailles. Nous retardons les adieux par une dernière boisson chaude, et déjà la nostalgie nous gagne, de ce lieu qui oh miracle nous a gâté niveau météo, et de nos potes qui ah désespoir nous manqueront c'est certain. Sur la banquette arrière Olivier pique un somme (imité par François dans l'autre voiture), les nerfs se relâchent.

Nous quittons Chriss aux alentours de 19h, alors que de notre côté la soirée se poursuit avec Mamylène jusque 22h, dans un dernier élan d'énergie... car nous aurions été mufles de ne pas faire un Scrabble avec elle (Sigo gagne, la routine quoi).

NB. Petite pensée aux Tipoussins qui ont déménagé le 25, ils doivent ouvrir encore leurs cartons...

mercredi 22 octobre 2008

Journée bookée

Rien que dans la journée de samedi, malgré sa crève Sigo a enchaîné trapèze (sans Olivier), escalade et danse (avec).

Dès 9h nous avons bénéficié des premiers rayons de soleil automnales, une lumière particulièrement intéressante pour la photo.
Le cours est passé plutôt vite car il y avait du monde pour une fois, en plus des habitués (Alain qui progresse fort, Alexis qui bientôt va sérieusement talonner Lutz, et bien sûr le prof Jean-François, Aurore) et de correspondants allemands, des nouvelles têtes ne demandaient qu'à balancer, et en fin de séance 2 grimpeurs/compétiteurs jumeaux semblaient motivés.

Le temps de faire nos courses à la ferme de Bathernay puis la boulangerie de Marges, nous avons grignoté devant Marques Avenue, car Chriss et sa chérie Anne (accompagnée de son fils) finissaient de déjeuner. En moins de 30mn, Sigo a quand même trouvé le moyen de faire chauffer la CB chez Princesse Tam-Tam, du jamais vu.
L'après-midi nous sommes allés grimper à St Moirans, Alain nous a fait découvrir une falaise en dalle qui nous a paru sous cotée, tellement nous avions du mal dans le 5 sup. Si les arbres ne commençaient pas à perdre leurs feuilles, on se serait cru en été.

Vers 21h nous sommes rentrés chez Catherine, où la chorale battait son plein (20 personnes au bas mot). Nos papilles ont été toutes émoustillées devant le buffet du repas, surtout par la mousse au chocolat et l'hydromel fabrication artisanale !
Olivier s'est remis à danser (décidément), se prêtant volontiers au jeu, tandis que Sigo a relayé l'accordéoniste déjà épaulé par une violoniste et un guitariste.

Dimanche nous avions plusieurs menus travaux au programme : couture jean, antirouille tente, aspirateur voiture... le programme est resté reposant, surtout que nous n'étions pas obligés de dormir à Lyon le soir, Olivier ayant un déplacement sur Remoulins lundi et mardi. Avant que Alexandra et Noé repartent courageusement en train (4h30 pour Clermont), nous avons visité la fabuleuse maison d'amis à Catherine, subjugués en parcourant l'album photos de cette ruine achetée en 1979 et presque totalement retapée.

vendredi 17 octobre 2008

Record du monde de distance en 24h

Ce lien vous résume les 419,90 km : http://downwindbrasil.hautetfort.com/archive/2008/10/15/record-du-monde-distance-24h.html Vous pourrez lire le récit du recordman Eric GRAMOND, cet alpiniste kiteboarder, fana du "downwind", qui inclue des bivouacs en autonomie histoire de pimenter l'expérience.
Retour quand même en arrière sur son entraînement musclé (1100 km), avec vidéo 1 et vidéo 2.
NB. On s'améliore, maintenant on fait des liens hypertextes, classieux !

jeudi 16 octobre 2008

Camille en concert

Sigo est partie mardi et mercredi à Nancy pour un colloque, non seulement elle a adoré mais en plus la soirée de gala était digne d'une grande réception chez "monsieur l'Ambassadeur", avec champagne encore à volonté et petits fours, repas gastronomique...

... madame ne se refuse rien, dans le chapiteau d'à côté se préparait le concert de Camille, elle a ainsi pu y assister gratuitement, tip top méga groove baby !

mardi 14 octobre 2008

Mariage lillois

En effet, le week-end dernier nous sommes montés dans le ch'nord fêter l'union de Aline et Kamel (ex-collègue d'Olivier), qui vivent ensemble depuis 13 ans.

Le temps a été assez doux avec une température de 15 à 20°C, nous avons laissé de côté la voiture, pour utiliser des transports qui nous changent à 2 : vélo, train, métro et bus. Son autre ex-collègue Béatrice nous avait sympathiquement réservé un gîte proche, ce qui nous a permis de rentrer sagement à pieds avant 3h du matin.
Samedi nous sommes donc arrivés à la minute près au RDV, entre leur sortie de la mairie et entrée dans l'église, nickel synchro.

En comptant les couples entiers, nous étions bien 20% "issus" de la société sur le total, ce qui est plutôt exceptionnel.
D'ailleurs afin de les remercier pour ces invitations, nous leur avons concocté des paroles sur l'air "Under the bridge" d'un de leurs groupes préférés les Red Hot, avec 2 guitaristes s'il vous plait parmi nous... chauffage de la salle au préalable sur un air des Gypsy Kings (impossible d'arrêter la tornade Elena + Steven) et Olivier en perruque bouclée blanche ça donnait.

Niveau dîner nous avons été gâtés, avec champagne et bière en open bar, petits canapés succulents à volonté dès 16h, plat servi sous cloche, buffet de desserts à en perdre la raison, corbeilles de fruits à profusion. Finalement, Sigo a tout de même apprécié la soirée même si elle couvait un rhume et ne connaissait pas grand monde, les dunkerquois ont su aussi mettre l'ambiance sur la scène, et fait rare nous avons dansé, ce qui aide à digérer !

Dimanche nous avions prévu de rentrer en fin d'après-midi, le tour de la ville a été un peu rude pour Sigo qui était affaiblie, face à un Olivier qui voulait absolument lui montrer tous les endroits où il avait vécu durant 1 an, en plus tout content que sa mémoire ne lui fasse pas défaut.
Ainsi nous sommes allés faire un tour sur le marché de Wazemmes, le quai du Wault, la Grand Place bien sûr, le vieux Lille, sous le soleil la brique avait des teintes presque nostalgiques.

vendredi 10 octobre 2008

Le mur des 50 noeuds

Le record, et ses rebondissements durant la compétition à Luderitz en Namibie...

le 4/10/2008 :
"50,26 nds, le temps canon ne vous surprendra pas, pas plus qu'il ne surprendra vraiment tous ceux qui suivent l'actualité du speed depuis un moment et à fortiori depuis l'année dernière. La fameuse et quasiment mythique barrière des 50 noeuds est tombée un jour d'octobre 2008 (vendredi dernier), effacée par l'engin à la voile le plus simple, le plus récent et le moins coûteux, on ne fera pas l'économie du symbole. Qui aurait cru lorsque l'on vit les premières ailes Wipika sur l'eau que l'histoire de cette "invention", de cette vision, que l'histoire de ce sport serait si fulgurante, qu'elle irait si loin et surtout si vite dans tous les sens du terme. Quel sera le réel impact de cet exploit réalisé par Sébastien, nul ne le sait aujourd'hui mais tous les acteurs du kite seraient bien inspirés de s'en emparer pour dire que le kite est non seulement l'engin le plus rapide mais pas seulement. C'est aujourd'hui un sport beaucoup plus "sécurisé" qu'à la première heure, c'est aussi un sport "structuré" dans le sens où un réseau d'écoles permet de l'apprendre dans les meilleures conditions possibles, c'est aussi un engin simple et magique qui permet non seulement de cramer tout ce qui glisse en vitesse pure, de surfer en 3D mais aussi de faire du cruising tranquille dans une baie avec le vent au bout des doigts. Le kite est sans doute l'un des plus beaux jouets pour lier le vent et la mer, Sébastien Cattelan vient de le faire rentrer dans la légende mais ce n'est que le début d'une grande histoire."

le 6/10/2008 :
"L'actualité s'emballe du coté de Lüderitz en Namibie. Le verrou psychologique a sauté et les fauves sont lâchés pour de bon. A ce petit jeu, même si les amitiés sont solides, sur le run chacun poursuit son propre destin. Alex Caizergues l'avait laissé entendre dans une interview, il l'avait mauvaise de n'avoir pu jouer son rôle le jour du premier record, celui de Rob Douglas à 49,84 nds. De même, s'il était sans doute sincèrement heureux que son pote Cattelan remette les choses en place et ouvre la porte des 50 nds, il devait se dire au fond de lui-même, je suis capable d'aller plus loin, d'aller plus vite. Samedi 4 octobre, Alex Caizergues a donc mis la hiérarchie dans le bon sens, puisqu'on le sait parmi les leaders du speed. Il signe un extraordinaire 50,57 nds pendant qu'à l'autre bout de la planète, et la nouvelle n'est pas à prendre à la légère, l'Hydroptère fait un retour en forme avec une pointe (une vitesse instantanée à 52,86). Certes les kiteboarders ont encore de la marge puisqu'ils sont au-dessus de 58 en pointe avec un 58,3 scoré par Seb.
Alex Caizergues, nouveau recordman du monde et l'histoire n'est pas encore terminée puisque la tentative de Lüderitz se poursuit."

le 8/10/2008 :
"La vitesse à la voile vient de connaître un bouleversement durable. En l'espace d'une petite poignée d'années, les kiteboarders ont pris le pouvoir d'une discipline qui ne leur était pas forcément promise. Que ceux qui ont connu les premiers runs au Mondial du Vent se rappellent du contexte des débuts. Aujourd'hui, le kite prend 8 des 10 meilleurs scores en vitesse pure. Seuls Antoine Albeau et Finian Maynard résistent encore mais les 5 premiers dont Christophe Prin-Guenon et Jérôme Bila sont au dessus de 49. Quand on sait qu'Alex a réalisé plusieurs runs au-dessus de 50 et que la marge de progression est là, on peut raisonnablement penser que le kite va dominer un bon moment encore, même si une nouvelle bonne performance des windsurfers n'est pas à exclure ainsi qu'un run costaud de l'Hydroptère. La barre des 51 noeuds est à la portée des plus rapides, reste à s'inventer de nouveaux challenges. La frontière des 100 km/h soit un peu plus de 54 nds est envisageable quoiqu'encore lointaine mais avec de l'entraînement spécifique et du développement sur le matériel, c'est sans doute possible."

le 9/10/2008 :
"La fête est finie, les guerriers vont rentrer au pays, festoyer et boire des pintes. Ils sont désormais 3 au-delà des 50 nds (Alex Caizergues à 50,57 - Rob Douglas à 50,54 - Seb Cattelan à 50,52), séparés juste par 0,05 nds, soient une 20aine de cm. Quand on pense qu'on peut lire dans une revue de bateaux qui sort ce mois-ci que c'est un bateau qui a le plus de chance de passer ce mur, on se marre..."

le 10/10/2008 :
"L'information méritera du recul, des commentaires et de l'analyse pour prendre tout son relief, je viens juste de l'avoir via le partenaire de Sebastien Cattelan, les ailes Genetrix. Mais sachez que Seb "Catman" aurait enregistré une pointe à 61 noeuds, oui vous avez bien lu, 61nds lors du dernier jour à Lüderitz. Venant de lui, d'Alex, de Rob Douglas ou de la poignée de gaillards qui sont soit juste au-dessus, soit juste au dessous des 50, l'info est plausible. Le kite va très vite. On y reviendra ici mais retenons, le vrai record sous peine de se perdre avec ces histoires de pointe, le record officiel est détenu par Alex Caizergues avec une vitesse MOYENNE sur un run de 50m entre deux marques FIXES (les bateaux ne sont pas soumis à cette règle et ça fait une ENORME différence) et de 50,74nds. Bravo Alex."


Ci-joint une vidéo qui n'est pas à la hauteur de l'exploit historique (n'ayons pas peur des mots), mais c'est toujours mieux que rien, hiphiphip aux frenchies !



PS d'Olivier : vous l'avez compris depuis longtemps, je suis corrompu !

mardi 7 octobre 2008

Beauduc avec les grenoblois

Vendredi à 13h nous réussissons à mettre les voiles, let's go to the beach, fuyons la grisaille citadine !

En passant devant notre unique kiteshop sur la route à la sortie d'Arles, la chance nous sourit, il est équipé en combinaisons intégrales pour filles, et Sigo trouve son bonheur top mode en plus remisé (niveau confort et qualité, l'essayage du modèle ne ressemble en rien à celui de Decath dans des cabines surchauffées, pétage de plombs assuré... ça sent le vécu). Après un autre arrêt aux Salins de Giraud, histoire de compléter nos victuailles, nous arrivons à 17h. Malgré un froid de canard à cause de la Tram qui souffle fort du nord, Olivier hésite à peine 5mn puis se met à l'eau.

Quand il sort, nous perdons du temps à chercher les lyonnais, finalement nous décidons d'intégrer le camp des grenoblois.
Tandis que nous montons les derniers la tente, l'apéro est déjà terminé, nous les rejoignons pour dîner et faire connaissance. Notre génépi fait grand bruit, il permet de prolonger agréablement la soirée, bercés (avec boules quiès) par les rafales à force 7... demain c'est garanti ça va envoyer du poney !

Dans la nuit, d'autres "morts la faim" ont débarqué, rapidement le groupe passe à une 20aine de pratiquants, il faut être non seulement vigilants à chaque décollage, mais aussi méticuleux en pliant ses lignes à chaque atterrissage. Alors que nous petit-déjeunons emmitouflés sous nos polaires + capuches, les 2 premiers lancent les "hostilités" dans la bassine, au moment où le vent est le plus violent (le plus jeune atteint 35,7 noeuds relevés en vitesse de pointe au GPS, avant de déchirer son aile en chutant brutalement).

Lorsque cela baisse un peu vers 10h nous y allons aussi, c'est la 1ère fois que nous ridons vraiment ensemble avec chacun son matériel, l'extase. En milieu de journée, nous dénombrons 70 ailes minimum en l'air, Sigo va ainsi enchaîner les runs pendant 4h (avec pause bien sûr) et se débrouiller nickel. Olivier jamais loin la surveille à chaque bord, près à intervenir en cas de problème (comme le leash de planche qui s'est détaché), ils se suivent, passent les vagues ensemble, y'a pas à dire c'est génial ;-)))
Par contre maintenant, vous devez vous attendre à voir moins de photos d'actions, ce qui est logique ;-(

Alors que certains ont déjà pris la route du retour, Olivier sort le dernier avant la nuit, tout excité d'avoir suivi un vol d'oies sauvages, il rate encore une partie de l'apéro. Réfugiés derrière une petite dune, un feu de joie a été allumé, il permet de se réchauffer, griller des saucisses, côtelettes, chamalows au rhum, cuire des pommes de terre, bananes au chocolat, en sirotant le jaja n°1, puis 2, 3, 4... la chartreuse, un autre génépi... une bonne partie de rigolade s'improvise naturellement.

Le réveil est un peu douloureux dimanche, le soleil brille toujours, et selon les prévisions le vent est très faible. C'est pas grave, nous en profitons pour essayer le mtb avec une aile de neige, au bout de quelques minutes Sigo commence à trouver le bon équilibre.
Pendant ce temps, d'autres s'initient au waterstart sur le sable, tapent des balles de golf, font du vélo ou vont courir, partent faire des photos, bouquinent, ou commencent à ranger la voiture. Tranquillement nous plions après déjeuner, bien reposés, nous ne rencontrons que peu d'embouteillages au final. Le plus dur reste de décharger tout le bardas, rincer combis, harnais, botillons, manger, se décrasser... enfin si c'est à refaire, demain on recommence sans hésiter, yahou !!!

Parmi nous il y avait un photographe, Jean-Rémi, nous vous conseillons le lien vers sa "Dimension #5 :: TEMOIGNAGES" où nous retrouvons ses albums artistiques sur le kite :

lundi 6 octobre 2008

Premiers flocons

Ils l'ont fait c'était samedi à 2188m, first session de la saison dans 30cm de pow pow !!


mercredi 1 octobre 2008

Il refait surface

Mickey ESKIMO, ce windsurfer artiste n'a jamais tourné dans un dessin animé ou un clip de bâtons glacés, par contre il aura marqué les esprits dans le monde de la glisse au cours des années 80.

Avec ses acrobaties, teintées d'un grain de jolie :
- forward loop sans les mains,
- avec un ballon de basket,
- un bouquet de fleurs,
- un pistolet à eau...
En recherche quelquefois de l'extrême :
- au bord d'un volcan en ébullition,
- sur des vagues monstrueuses,
- parmi les requins...
Défricheur de spots originaux :
- en Inde parmi les éléphants,
- sur l'Ile de Pâques...
En bref, un personnage à part entière au faciès unique :
Enfin il vient de créer son site http://www.mickey-eskimo.com/, vous pourrez y lire sa biographie, visionner des photos insolites et entre les lignes comprendre sa philosophie de la vie, tendance idéaliste.

... give peace & love.