samedi 13 décembre 2008

Beal de la balle

Quand jeudi soir Olivier a consulté les prévisions, le dilemme était de savoir comment prendre sa journée sans faire criser sa chef ? Il a suffi d'assurer une réunion téléphonique sur la route (en s'arrêtant, car conduire et voir la neige autour ça déconcentre énormément), lui dire qu'il y avait besoin de récupérer des derniers audits de nuit... en 2 coups de cuillères à pot, l'affaire était dans le sac.

Vers 11h alors qu'il approchait du col et sortait des nuages, Flippo et Fred qui bossaient l'après-midi lui ont confirmé que depuis 8h c'était l'orgasme.
De 11h30 à 18h30 ce sera en effet l'orgie, de poudre, soleil et vent. En comptant les pauses ils ont ridé 6h, à ne plus avoir de voix vers la fin tellement ils poussaient des cris de "joie" à chaque saut, chaque pointe de vitesse, chaque trace moelleuse.

Tout le monde se souviendra de cette journée mémorable, à inscrire aux annales :
- du début, la découverte d'un terrain de jeu vierge et sans limites,
- du déglingage d'un sapin, avec un Cyril toujours disjoncté, un Philou roi de la rotation, un Gilouz qui lui a mis le coup de grâce en le décapitant involontairement,
- d'une combe où il fallait prendre son ticket pour sauter (Cyril encore, grattait souvent un tour),
- des boudineux Lise et Vincent qui se sont bien régalés,
- de Peyo le local, qui s'est emmêlé dans 2 ailes après être passé sur des lignes,
- d'une mini course poursuite dans la zone militaire, avec des gentils bidasses dans leurs ratracks qui n'allaient pas assez vite,
- et du must, alors que le soleil se couchait et la lune se levait, l'exploration avec Fafa, Gilouz, Cyril de l'autre bout du secteur (sans trace) où la poudre était encore plus légère et les réceptions douces comme du coton, à en oublier la température à -14°C !

Inutile d'en dire plus ou de se prendre la tête avec la mise en page tarabiscotée de blogspot, le mieux est de regarder les photos sur l'album "Beal de la balle".

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Y en a des qui s'emmerdent pas trop quand même hein ...

YO