Mariage vendéen

Celui de Marie-Laure et Florian (copain au lycée de Sigo) : pour profiter pleinement du déplacement il aurait fallu partir mercredi après-midi, mais bosser 2 jour 1/2 dans la semaine n'aurait pas été très sérieux.

Nous avons donc pris courageusement la route jeudi à 7h, et comme prévu nous avons rejoint notre étape de Saumur au moment du déjeuner, chez notre ex-copine angoumoise, Eugénie.
Après le tour de sa joliette maison, un repas original et délicieux, nous avons visité sous le soleil la ville. Nous avons surtout admiré le panorama avec les vignes en 1er plan, puis le château et la Loire au fond.

Afin de ne pas se retarder mutuellement, car elle devait aussi rejoindre en soirée de la famille, nous avons décollé à 17h. Petit détour au camping, Romain absent, sans hésiter direction la plage de Sauveterre, où 2 ailes étaient déjà en mouvement.
Dans un air plutôt frisquet, seul Olivier est allé à l'eau, à regret il a dû écourter la session car Sigo se pelait.

Vendredi matin nous avons fait une courte promenade en bord de mer, puis les courses pendant que Romain se coupait les tifs. L'heure de la cérémonie est vite arrivée, avec le stress d'être tout beau tout propre sur soi.
Cette célébration nous a beaucoup plu, elle a duré plus d'1h sans voir le temps passer, sans religion cet instant de bonheur partagé a été à la fois solennel et léger, ponctué de témoignages poignants et amusants.

La soirée s'est prolongée tranquillement par le vin d'honneur puis le dîner, avec un plan de table sur le thème des îles. Entre chaque plat nous avons eu droit à diverses animations, le tout dans une ambiance heureuse et agréable, même si nous ne connaissions pas grand monde.
Bien organisé, une navette a ramené les couches-tôt à 2h, les plus festifs (pour ne pas dire les "fracassés") à 4h ; heureusement que nous avions loué un mobil-home, car dans la nuit il a plu à torrent.

Samedi nous étions invité aussi au "retour", dès 12h30 jusqu'en milieu d'après-midi où nous avons pris la tangente vers la plage, alors que d'autres jouaient ou se reposaient. Ce satané vent a daigné se lever pile quand il fallait revenir au repas du soir, Olivier a dû ronger son frein en silence.
Quoiqu'il en soit cette privation a été largement rattrapée par le film projeté, 40mn de clins d'oeil truculents orchestrés par leurs potes qui avaient fait un montage.

Le lendemain nous sommes retournés à la plage avec Romain, emmagasiner les derniers rayons de soleil, se baigner entre les étoiles de mer et crabes, avant d'embrayer sur le long périple du retour.
Notre copain, qui habite désormais au Pays-Bas, a pris son avion à Nantes ; nous le remercions encore pour son fromage et ses sucreries du pays, un avant goût avant une prochaine excursion !

Festival de Kânnes

Depuis plus d'1 mois la neige s'est faite la malle dans le six trois, enfin ATP (qui a un grain sous le casque ?) vient de déclarer sa der de la saison avec cette super production :



La palme lui revient, pour celui qui batifole entre les jonquilles :


... tronçonne les sapins :


... tond la pelouse :


... est imité par son pote qui trempouille dans les flaques :


Pour info son snow est à vendre, avec une semelle en parfait état, du plaqué 100% carbone-kevlar qui permet des slides sur les marches du palais sans sourciller.

Match ex aequo

Ce week-end nous avions non seulement besoin de dormir tard au moins un matin, mais aussi nous étions chacun en manque de notre loisir préféré. Par contre nos emplois du temps n'étaient pas coordonnés, alors nous avons dû nous "séparer" : 1er jour Sigo est partie au trapèze, et 2ème jour Olivier a pris son kite.
Pour les détails, vendredi soir avait lieu l'assemblée générale des Siamangs, nous avons pu revoir Blandine et Catherine, puis une bonne nouvelle de jeunes membres fraîchement inscrits ont rejoint le bureau.










































































Samedi le temps a été superbe, quand Sigo a fini de balancer nous sommes allés déjeuner chez son père et Joëlle. L'après-midi nous avons lézardé dans leur jardin, fait une partie de pétanque très serrée, qui a réjoui Olivier puisque son équipe a gagné.
Avant que la nuit tombe nous avons filé chez Gilles et Franck, où à une époque Sigo y faisait le ménage. La priorité était de cueillir avant qu'il ne soit trop tard, et en manger, une grosse quantité de cerises !
Ensuite nous avons passé une agréable soirée en leur compagnie et celle de 4 autres invités, avec des discussions à l'esprit toujours très fin.

Dimanche Olivier était debout à 7h, direction les Saintes Maries de la Mer rejoindre une dizaine de potes (et en ramener un, ce qui a permis de diviser le péage).
Environ de 11 à 17h ils ont kité avec un vent juste juste, dans une petite baie au nord où au milieu un blockhaus est à demi immergé, qu'il faut bien contourner en faisant attention au sens des vagues. Il est revenu enchanté, après avoir essayé le surf de Fred, un nouveau jouet qui lui donne envie... d'autres à tester.

C'est moderne

Depuis 1 an minimum nous pestons sur le vieil ordinateur portable d'Olivier, enfin nous avons investi dans une bête de course que nous pourrons faire évoluer. Finis les doigts croisés sur le clavier en espérant qu'il reparte après chaque plantage, les copies de CD en ayant toujours peur que le disque dur nous lâche, les rafraîchissements de pages internet qui rament à n'en plus finir, certaines animations impensables à visionner ou à ses risques et périls, son ventilateur bruyant et sa batterie qui ne tient plus la charge... nous avons notre "media center" prêt à l'emploi.

Pour ses bons et loyaux services (quoique il nous a perdu, car mal gravées, quelques photos) nous allons quand même essayer de sauver l'ancien matériel, après nettoyage et réinstallation d'un minimum de logiciels, en ayant espoir de lui donner une seconde petite vie.

STOP

La communauté kite est en deuil, en moins de 15 jours ont été signalés 2 accidents mortels sans trop connaître les circonstances exactes :
- Sylvain à Bidart
- Jean-Claude à Leucate
et 1 accident grave d'un pro :
Vincent à Leucate (la photo de son visage donne des frissons).

Le débat est relancé sur le port obligatoire du casque et gilet de flottaison, au moment où Olivier sur l'eau commençait à s'en passer, il y est vite revenu.

Le Ferret sans kite

Cela devient habituel, il faut se faire une raison sur ce bout de côte atlantique le vent (en général un thermique faiblard) manque souvent pour nous, mieux vaut se rabattre sur la marche, la voile ou le vélo par exemple. Ainsi nous sommes aussi plus disponibles pour la famille d'Olivier, nous pouvons bénéficier du cadre paisible de ce lieu afin de nous reposer.
Arrivés mercredi soir, le jeudi nous n'avons donc rien fait de spécial, juste profité de quelques rayons de soleil pour s'allonger en maillot au bord de l'océan.

Vendredi sous un ciel gris avec Hélène et Yves nous a pris l'envie de pédaler, une ballade de 40 km (jusqu'à Ares) écourtée par la venue de Christine et Jean-Louis, Aurore, Roméo et Jérôme en fin d'après-midi... menée au rythme soutenu de Sigo, entraînée au vélo'v (2 fois plus lourd qu'une bicyclette classique).
Au milieu de la forêt nous avons pu constater les ravages suite à la tempête, en janvier.

Toute la soirée la pluie nous a épargné, ce qui a permis quelques matchs de ping-pong en attendant l'apéro, en prenant des nouvelles de tout le monde. Hélène nous avait préparé un repas espagnol : gaspacho en entrée, paella en plat et le nec plus ultra pour les gourmands avec 2 desserts, tarte au citron et vacherin (offert par la famille Derasse) !
En sortant de table, vous l'imaginez peu ont résisté au sommeil envahissant, surtout que chacun avait son quota d'efforts physiques pour la journée.

Samedi rapidement le soleil s'est imposé, contraire aux prévisions météo ; sans perdre une seconde nous sommes alors tous partis au marché, puis Aurore à la pharmacie pour soigner son extinction de voix. Nous avons adoré le déjeuner dehors sur les caillebotis, quel pied, déguster les huîtres accompagnées de saucisses au barbecue et arrosées d'un délicieux vin blanc qui fait tourner la tête.

Dans la continuité de cette journée parfaite, la cime des pins s'est mis à frissonner, notre signal pour tenter le catamaran sur le bassin. Jérôme, une chance, nous a rejoint avec son fiston à cause des vagues pas comme il fallait pour le surf (c'teu p'tite frappe ;-).
Dans un vent léger mais assez régulier Roméo a pu barrer, tenant le cap fièrement jusqu'au bord de la plage d'Arcachon (à 4 km de l'autre côté). Le retour a été plus technique à cause d'un fort courant contraire aux risées, qui scotchait sur place le bateau et nous obligeait un slalom délicat entre les bouées et embarcations à moteur.

Olivier est reparti avec Sigo et Yves, jusqu'à 19h avec un zef au début plus sympa puis ridicule, heureusement sur un plan d'eau plus calme et aux couleurs splendides. Le dernier jour s'est limité au matin, car nous sommes partis à 14h, pour une fois sans être trop dégoûtés car il pluviotait.
Enfin ce week-end prouve qu'il n'y a pas que le kite dans vie, n'est-ce-pas Olivier ? Merci encore pour ces moments agréables, aux bordelais et talencais qui sont venus spécialement.

Si vous désirez voir d'autres photos, nous avons créé l'album Cap Ferret 2009.

L'Afrique enchantée

Depuis notre retour du Sénégal, souvent le dimanche à 18h10 nous sommes en voiture, et pour rien au monde nous ne loupons cette émission sur Inter. Animée par Soro et Vlad, ce sont 50 mn d'évasion, d'humour, de sonorités entraînantes et dépaysantes... nous vous conseillons, en nos fins de week-end la pensée du lundi prend de suite une autre tournure, plus légère, légère.

Anniversaire KTK/KAF

En ce week-end du 1er mai étaient organisés à la Franqui (Leucate) les 10 ans de l'association de kite, dans laquelle nous sommes inscrits depuis 2 ans. Nous avions réservé le jeudi soir pour le trapèze, et aurions même pu prolonger jusqu'au vendredi si nous avions su, à tel point il était impossible de naviguer. Ce matin là en effet, 2 kiters uniquement se sont mis à l'eau, alors que les conditions étaient plus que dangereuses : vent off (de terre), avec des claques à 50 noeuds (presque 100 km/h).

L'après-midi pendant que les uns et autres arrivaient, nous avons essayé de trouvé des endroits de repli autour des étangs mais chacun a été raisonnable, à la place de notre côté nous avons fait le tour des 6 kite shops du coin pour passer le temps. Toute la nuit le vent a continué à rugir, puis dans la matinée du samedi se sont succédées les mesures à l'anémomètre sans que personne se décide vraiment, toujours à cause de rafales monstrueuses.

Finalement après déjeuner le plus gros de la troupe a pris la direction de la plage, tandis qu'avec une poignée nous sommes retournés vers les étangs, en choisissant le spot à St Laurent de Salanque. Alors que Vince et Olive se motivaient face à un zef encore musclé, un local les a refroidi en leur apprenant qu'au même endroit une semaine plus tôt, un sexagénaire pratiquant avait décédé.

Pendant une légère accalmie Olive s'est quand même équipé, en décollant immergé afin de disposer d'une marge de sécurité maximum en cas de largage d'urgence. Un peu plus tard Vince l'a rejoint et les 4 autres ont préféré regarder, car ils ne le sentaient pas... règle principale de ce sport, savoir rester humble en fonction des éléments et de son niveau, ou faire de la planche à voile, c'est plus serein. Heureusement Sigo a pu discuter avec Lise, l'attente lui est parue un peu moins longue.

Le soir c'était la grande fiesta, au total 70 adhérents sur la centaine avaient fait le déplacement, sans compter les enfants qui semblent plus nombreux d'une sortie à l'autre. Jusqu'à 2h du matin les fêtards ont chanté "c'était les 10 ans de la KAF" sur l'air de "this is the rythm of the night". Les absents ou couchers tôt ont été contents d'écouter en live ou différé, la chorale déjantée sur leur messagerie de portable, ça donnait !

Dimanche Eole enfin a été moins colérique, nous avons tous fait du kite sur la mer, notre sécurité assurée par le bateau de l'Apache (pseudo d'un autre Olivier)... d'ailleurs, sans lui beaucoup se seraient vite retrouvés en Afrique, avec le vent qui nous poussait au large. Sigo, Sandra et Hélène se sont bien débrouillées, elles ont réussi à se frayer un chemin parmi les ailes des garçons qui sautaient à droite à gauche. Avec cette orientation c'était royal nous n'avions presque pas de clapot, ainsi nous pouvions toucher le sable en lâchant une main sur le bord du retour lancés à pleine vitesse.

A l'heure du casse-croûte, le zef a vraiment baissé, ce qui nous a permis d'admirer Maryvonne et Pascal qui participent aux championnats de France de cerf-volant : incroyable de voir avec quelle dextérité ils pilotent leurs engins, et improvisent une danse en duo. Au camping nous avons prolongé le moment du départ avec les derniers (en pensant aux embouteillages), puis avons fait un crochet au spot de la Palme regarder avec envie les chanceux qui restaient jusqu'au lendemain (pas de regret pour nous, nous avions percé les boudins centraux de nos 2 ailes).

D'un simple clic, l'album de photos d'objectifs divers et variés.

Beauduc autrement

Nous avons découvert un album de photos public sur Picasa excellent, notre spot préféré pour le kite l'été, photographié d'un paramoteur certains jours sans trop de vent.

Les auteurs sont Petra et Andi que nous ne connaissons pas ; nous avons alors fait un tri (138 photos sur un total de 327, dont beaucoup vues du ciel), vous pouvez consulter l'album en cliquant directement sur l'image.

PS. Cet article permettra de patienter, en attendant notre résumé du week-end...

Longue distance Arcachon

Nous n'étions pas disponibles, il y a 1 semaine... dire que certains étaient à côté et ne sont pas allés faire un tour, j'vous jure.

Dans un vent très léger les nouvelles planches sur foil ont tiré leur épingle du jeu, malgré de forts courants.

Ci-joint le résumé en images, mission remplie pour les organisateurs :



Le reste des photos de Fred VAISSE, sur Kite 33.