En 1 semaine nous sommes passés de l'hiver à l'été brutalement ; on va pas trop se plaindre, il faut juste adapter ses loisirs (cause neige trop collante), tels que reprendre le foil au Monteynard, en covoiturant de la Drôme avec les potes du coin. Après une mise à l'eau un peu compliquée à cause du niveau de l'eau (pas si fraîche d'ailleurs, car supportée en combi 3/2 sans cagoule et sans gants), le thermique a permis de s'amuser 2-3h, devenant très léger à la fin, mettant à rude épreuve la technique vu que je m'entraîne sans les straps : autres photos.
Sigo a continué son overdose trapèze, alors que Adèle s'est encore amusée avec Roxane, sans compter les nouvelles trouvailles de sa mamie (bac à sable et double balançoire).
lundi 23 avril 2018
lundi 16 avril 2018
Hiver prolongé
Le créneau n'était pas le meilleur choisi pour un Lautaret samedi dernier, mais c'était le jour avec les potes, et finalement nous avons pu explorer quelques pentes vers les 3 Evêchés et le Pic Blanc, tout en contournant les endroits qui sentaient mauvais.
Avec les températures annoncées cette semaine, ça risque de purger en masse. Il reste encore des quantités importantes, telles que 3-4 mètres au col, par contre la qualité laisse à désirer, et pour cette raison on sent que la saison de snowkite touche bientôt à sa fin. Pendant ce temps, Sigo a refait encore son plein de trapèze, Adèle a profité de sa cousine et de l'atelier potager avec sa Mamika.
Avec les températures annoncées cette semaine, ça risque de purger en masse. Il reste encore des quantités importantes, telles que 3-4 mètres au col, par contre la qualité laisse à désirer, et pour cette raison on sent que la saison de snowkite touche bientôt à sa fin. Pendant ce temps, Sigo a refait encore son plein de trapèze, Adèle a profité de sa cousine et de l'atelier potager avec sa Mamika.
vendredi 13 avril 2018
Semaine noire
La série a commencé avec la petite malade ce week-end, confirmée par le docteur lundi comme étant une angine, sachant qu'à la crèche il y a une épidémie de pharyngite (en plus de 2 auxiliaires qui sont absentes), ne l'empêchant pas d'y retourner... Adèle construit ainsi ses défenses immunitaires, ça fait partie du deal nous étions prévenus. En parallèle j'ai été arrêté à partir de mardi à cause d'une lombalgie aiguë, que j'expliquerais surtout à cause du boulot (multiples contrariétés et décisions illogiques). Sigo pour l'instant tient le coup, heureusement, même si la gorge grattouille... enfin vivement le gros break en mai, 3 semaines loin des "mauvaises ondes" !
mercredi 11 avril 2018
Empar(ad)is
Ca défile, la dernière tentative sur le plateau d'Emparis remonte à 7 ans, et j'y suis retourné samedi cette fois avec 2 copains grenoblois (Igor et Pierre), en accès rando car téléski fermé depuis le 18/3, tandis que Sigo reprenait à fond la saison trapèze sur 3 jours intensifs dans la Drôme, où je l'ai rejoint.
D'autres copains lyonnais étaient censés nous emboiter le pas, mais ce petit détail et le hasard des conditions les ont démotivé, se rabattant sur le col du Lautaret où cela n'a pas été meilleur.
La montée a été finalement courte tout en restant sécu, nous avons pu déplier les ailes quelques mètres avant le sommet (parti en 6). Puis un peu après il a fallu marcher à nouveau pour atteindre le Serre Bernard, en bord de falaises le vent était perturbé, venait trop de l’Est.
Sur le replat nous sommes passés en 9 ou 10 et ça montait tranquillement au Petit Têt, endroit où nous sommes restés la majeure partie du temps, avec une neige plutôt agréable. J'ai tenté 2 ascensions au Gros Têt mais ça ne voulait pas, comme un verrou qui me bloquait à une certaine altitude.
Nous avons grignoté, mes acolytes ont filmé un peu... en fin d’après midi nous nous sommes motivés pour repeauter, explorer plus haut. C’était pétole, restait le paysage magnifique, de belles lumières contrastées pour notre descente, sur une moquette un peu lourde vue l’heure. Même si l’endroit est capricieux on reviendra, nous savons que les sessions y sont rares, mais en valent 10 sur des spots plus accessibles : les photos.
D'autres copains lyonnais étaient censés nous emboiter le pas, mais ce petit détail et le hasard des conditions les ont démotivé, se rabattant sur le col du Lautaret où cela n'a pas été meilleur.
La montée a été finalement courte tout en restant sécu, nous avons pu déplier les ailes quelques mètres avant le sommet (parti en 6). Puis un peu après il a fallu marcher à nouveau pour atteindre le Serre Bernard, en bord de falaises le vent était perturbé, venait trop de l’Est.
Sur le replat nous sommes passés en 9 ou 10 et ça montait tranquillement au Petit Têt, endroit où nous sommes restés la majeure partie du temps, avec une neige plutôt agréable. J'ai tenté 2 ascensions au Gros Têt mais ça ne voulait pas, comme un verrou qui me bloquait à une certaine altitude.
Nous avons grignoté, mes acolytes ont filmé un peu... en fin d’après midi nous nous sommes motivés pour repeauter, explorer plus haut. C’était pétole, restait le paysage magnifique, de belles lumières contrastées pour notre descente, sur une moquette un peu lourde vue l’heure. Même si l’endroit est capricieux on reviendra, nous savons que les sessions y sont rares, mais en valent 10 sur des spots plus accessibles : les photos.
jeudi 5 avril 2018
Des oeufs à la neige
Ce titre ne correspond ni à un dessert, ni à la tradition de Pâques (qui n'a d'ailleurs pas été respectée), mais à un week-end bien gâté du vendredi au lundi inclus, du côté de La Grave et du Lautaret avec ma soeur qui nous a porté chance.
Le premier jour nous savions qu'il était cramé à cause de la météo, nous avons donc pris notre temps pour faire la route, mais pas trop non plus, car la neige était annoncée en fin d'après-midi. Quelques jours avant j'avais trouvé une location surdimensionnée pour nous 4 (avec 10 couchages) à Villar d'Arêne, mais à un prix défiant toute concurrence : 20 euros / nuit / adulte. Nous avons essayé de motiver des copains de kite à nous rejoindre, mais dommage ils étaient déjà pris.
En se couchant nous étions un peu déçus, il était tombé quelques flocons mais rien de transcendant. Par contre au réveil ce fut l'extase, une belle couche de fraîche nous attendait, nous prenant un peu de court sur le choix de la station en fonction du risque d'avalanche. Finalement je suis parti avec Emilie à La Grave, station mythique et unique qui se résume à du hors piste, nous obligeant donc à louer un minimum d'équipement pour notre sécurité (arva + pelle + sonde). La matinée n'a pas été facile pour elle, pas habituée à surfer dans une couche aussi épaisse de poudreuse, elle faisait régulièrement des soleils (plantage de l'avant). En milieu de journée Sigo a donc pris le relais, et nous avons terminé le forfait tous bien crevés.
Dimanche à nouveau une autre couche (moins importante mais jolie quand même) nous a poussé au col, mais la petite était ronchon, les filles sont rentrées et je me suis fait une sympathique balade 2-3h dans un coin encore non exploré en remontant à contre pente au Nord-Est du spot, puis j'ai regardé Chasta faire un festival... nous y sommes retournés tous ensemble sur la fin d'après-midi, histoire de profiter encore du soleil et acheter de bons produits au jardin alpin.
Pour le dernier jour nous l'avons passé côté spot de la ruine avec un vent de sud cette fois, la neige n'était pas top mais j'ai pu notamment "baptiser" Adèle en snowkite dans mon dos : les autres photos.
Le premier jour nous savions qu'il était cramé à cause de la météo, nous avons donc pris notre temps pour faire la route, mais pas trop non plus, car la neige était annoncée en fin d'après-midi. Quelques jours avant j'avais trouvé une location surdimensionnée pour nous 4 (avec 10 couchages) à Villar d'Arêne, mais à un prix défiant toute concurrence : 20 euros / nuit / adulte. Nous avons essayé de motiver des copains de kite à nous rejoindre, mais dommage ils étaient déjà pris.
En se couchant nous étions un peu déçus, il était tombé quelques flocons mais rien de transcendant. Par contre au réveil ce fut l'extase, une belle couche de fraîche nous attendait, nous prenant un peu de court sur le choix de la station en fonction du risque d'avalanche. Finalement je suis parti avec Emilie à La Grave, station mythique et unique qui se résume à du hors piste, nous obligeant donc à louer un minimum d'équipement pour notre sécurité (arva + pelle + sonde). La matinée n'a pas été facile pour elle, pas habituée à surfer dans une couche aussi épaisse de poudreuse, elle faisait régulièrement des soleils (plantage de l'avant). En milieu de journée Sigo a donc pris le relais, et nous avons terminé le forfait tous bien crevés.
Dimanche à nouveau une autre couche (moins importante mais jolie quand même) nous a poussé au col, mais la petite était ronchon, les filles sont rentrées et je me suis fait une sympathique balade 2-3h dans un coin encore non exploré en remontant à contre pente au Nord-Est du spot, puis j'ai regardé Chasta faire un festival... nous y sommes retournés tous ensemble sur la fin d'après-midi, histoire de profiter encore du soleil et acheter de bons produits au jardin alpin.
Pour le dernier jour nous l'avons passé côté spot de la ruine avec un vent de sud cette fois, la neige n'était pas top mais j'ai pu notamment "baptiser" Adèle en snowkite dans mon dos : les autres photos.
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