lundi 28 avril 2008

Début de transition hiver/été

20°C en plaine, la journée au Lautaret dimanche risque bien d'être l'adieu à la neige pour cette année...

Pendant qu'Olivier se délassait sur les transats en prenant des photos, vendredi Sigo était contente de s'entraîner au trapèze. Plus à l'aise elle a enchaîné les figures, avec Blandine qui a passé haut la main (avec longes) la "par-dessus casse coup" diabolisée il y a + 6 mois.
Ensuite nous étions invités à l'expo de Catherine (M), savant mélange de peintures aux couleurs chaudes, sur le thème principal de la danse. Non seulement nous avons croisé nos "guides" martiniquais Annie et Jacques, mais aussi Marielle, accompagnés par des musiciens de jazz, petits canapés à picorer, la grande classe !











Après une soirée avec les copains parisiens de Catherine (S), l'une est repartie balancer, l'autre a dormi copieusement. Puis samedi après-midi, sous un soleil estival, 3 chantiers ont été improvisés :
- carré de courgettes à préparer,
- mur de pierres à terminer,
- allers du jardin à nettoyer.
Les garçons ne se sont quand même pas privés de +/- longs intermèdes TV rugby, bien rafraîchissants.














Cette fois le lendemain Olivier sonne le clairon pour le départ au col, où nous arrivons pile poil pour grignoter avec les kaffeux lyonnais. En attendant le vent nous passons le temps, Sigo téléphone, l'un confectionne une lunette radar avec une pompe d'aile et un trépied de camescope, l'autre descend la route en mountainboard, le reste comate...
























Vers 16h un toussotement d'Eole se fait sentir, 3 abandonnent, 4 dont Olivier s'équipent. Finalement le plaisir sera de courte durée (la miss se réveillera trop tard), 2h à tout casser, qui lui auront permis de tester le spot de l'hôtel, refaire des vols de pente plus tranquilles.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Sont beaux devant leur camion les guerriers du 21 siècle ... attention c'est du lourd ; c'est pour ça que le vent se cache, il doit avoir peur.

Faut juste laisser Sigo devant, les affreux dans camion bien cachés..

Ah lala faut tout leur dire.

Lionel