- nous avons réussi à faire du kitesurf et du trapèze,
- nous avons navigué ensemble sur plusieurs bords.
Tenant compte des prévisions météo, nous prenons donc la route vendredi à 13h30 : let's go to Beauduc ! Le temps de serrer les paluches, dès 18h Olivier monte sur le kite, puis au bout d'une bonne heure passe le relais à Sigo. Quand elle s'arrête, il vient de commencer le montage de tente (olé olé dans 20 noeuds de vent, malgré la voiture placée en écran). Il rejoint alors les furieux jusqu'à la tombée de la nuit, heureusement reste calme lorsque 2 emmèchés repartent à l'eau de 22 à 2h.
A cause du zef et du dîner un peu arrosé, la nuit est courte ; vers 7h, le bruit d'une pompe gonflant une aile nous lève franchement. Bien sûr 30mn plus tard Olivier colle aux matinaux du KAF, ce fut les meilleurs moments, l'apparition du soleil derrière un rideau de nuages, le spot tranquille sans le stress de surveiller partout les autres ailes en mouvement.
Chacun émerge alors à son rythme, certains n'ayant pas bien digérés les huîtres et gambas, il leur faut un petit-déj bien costaud.Grâce à une planche prêtée en test, et surtout aux progrès flagrants de Sigo avec l'aile verte sur la photo (reste juste à tendre un peu plus la jambe avant ;-), nous nous suivons de prés, le rêve d'Olivier se réalise... pas de doute, maintenant nous devons investir dans une 2ème planche.
L'après-midi les conditions sont plus variables, l'occasion de faire un peu plus connaissance, de préférence à l'ombre de la cagnard, de plier les affaires, après une douche solaire rafraichissante.10h RDV au trapèze, Olivier daigne balancer et reprendre où il s'était arrêté il y a 10 mois (pas trop perdu finalement). Le rythme est cool à cause de la température, sauf pour nos 2 compères toujours à plein régime ; Lutz tourbillonne dans les rotations, et Alain nous gratifie d'un saut de l'ange du sommet de la structure. Nous faisons essayer à David leur pote photographe, puis nous sommes invités à la cabane.
Le déjeuner ratatouille en sirotant notre bière s'éternise, comme un goût de vacances avant l'heure, de toutes façons personne n'a trop envie de bouger.Au retour à St Avit, Olivier doit s'allonger car ses cervicales se durcissent douloureusement (pas beau de vieillir), tandis que Sigo en profite pour faire de la confiture aux figues. Alors que sont ramassés les produits du potager qui peuvent s'abîmer, des courgettes gigantesques notamment, nous croisons Alex et Noé, puis cap sur Lyon où heureusement la circulation n'est pas trop dense.
Le soir autant vous dire que nous ne jouons pas aux fanfarons, direct au lit en se repassant le film dans la tête, le pied !
Le soir autant vous dire que nous ne jouons pas aux fanfarons, direct au lit en se repassant le film dans la tête, le pied !
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