Pour sa thèse, car depuis le 17/11 elle est docteur avec mention du jury très honorable... nous vous serons gré de respecter ses voeux jusqu'au bout, c'est-à-dire éviter les 2 questions du genre : ça racontait quoi, et maintenant elle fait quoi ?
Merci beaucoup à elle et Thibault pour leur invitation ce dimanche à un grand repas parmi leurs familles et amis, cela nous a fait plaisir de connaître Léo et revoir Margaux (qui ressemble trop à la soeur d'Olivier quand elle était petite), et du bien de se poser un peu.
dimanche 30 novembre 2008
samedi 29 novembre 2008
Sortie olé olé
Avant de partir ce samedi au col des Supeyres (63) , nous savions que le vent de sud pouvait devenir fort, notamment en fin de journée précédant le mauvais temps.
11h nous arrivons finalement les premiers, alors que Olivier pensait être en retard. Dans la demi-heure, les autres têtes de "truffes" qu'il a charrié sur le forum débarquent, Fred se lance et déjà certains signes auraient dû nous mettre en alerte.
Qu'à cela ne tienne, Sigo choisit les skis et se connecte à sa barre, commencent alors les ennuis : 2 décollages d'aile (qui finit proche des barrières et d'un arbre) + l'aile reliée à rien (ou plutôt un ski seul) qui se fait la malle = juste une sangle de cassée heureusement.
Réflexion faite tous les 2 nous toilons 3m2 de moins, Sigo rejoint le plat à pied tandis que Olivier galère car il enfourne souvent dans les bruyères à cause des bourrasques. Au moment de casser la croûte le zef ramollit et devient plus régulier, chacun reprend confiance en ses jouets, surtout Emilie (une autre encore ;-) qui débute.
Puis vers 15h les belles éclaircies font place aux gros nuages moches, l'aérologie se transforme en du grand n'importe quoi, les uns derrière les autres nous larguons notre sécu avant de se faire vraiment brasser.
Les "vétérans" sur l'autre flanc continuent sans faillir ; pour nous les djeun's ça suffit, il est plus agréable de se déguster un bol de chocolat chaud / verveine (chartreuse au fond).
Il est aussi plus intéressant de rendre visite à la ferme des Supeyres, qui si les membres de l'assoc lui achètent suffisamment de fromage, pourrait nous installer une webcam attitrée ?
Au retour les ennuis recommencent, avec la tempête qui rend la route très glissante ('ttention le ravin !) et pour finir nous ne savons quelle bête (biche ou chevreuil, vue qu'elle tenait toujours sur ses 4 longues pattes, avant de déguerpir dans la nuit) nous percute sur l'aile gauche (grosse frayeur, la carrosserie peut en témoigner).
11h nous arrivons finalement les premiers, alors que Olivier pensait être en retard. Dans la demi-heure, les autres têtes de "truffes" qu'il a charrié sur le forum débarquent, Fred se lance et déjà certains signes auraient dû nous mettre en alerte.
Qu'à cela ne tienne, Sigo choisit les skis et se connecte à sa barre, commencent alors les ennuis : 2 décollages d'aile (qui finit proche des barrières et d'un arbre) + l'aile reliée à rien (ou plutôt un ski seul) qui se fait la malle = juste une sangle de cassée heureusement.
Réflexion faite tous les 2 nous toilons 3m2 de moins, Sigo rejoint le plat à pied tandis que Olivier galère car il enfourne souvent dans les bruyères à cause des bourrasques. Au moment de casser la croûte le zef ramollit et devient plus régulier, chacun reprend confiance en ses jouets, surtout Emilie (une autre encore ;-) qui débute.
Puis vers 15h les belles éclaircies font place aux gros nuages moches, l'aérologie se transforme en du grand n'importe quoi, les uns derrière les autres nous larguons notre sécu avant de se faire vraiment brasser.
Les "vétérans" sur l'autre flanc continuent sans faillir ; pour nous les djeun's ça suffit, il est plus agréable de se déguster un bol de chocolat chaud / verveine (chartreuse au fond).
Il est aussi plus intéressant de rendre visite à la ferme des Supeyres, qui si les membres de l'assoc lui achètent suffisamment de fromage, pourrait nous installer une webcam attitrée ?
Au retour les ennuis recommencent, avec la tempête qui rend la route très glissante ('ttention le ravin !) et pour finir nous ne savons quelle bête (biche ou chevreuil, vue qu'elle tenait toujours sur ses 4 longues pattes, avant de déguerpir dans la nuit) nous percute sur l'aile gauche (grosse frayeur, la carrosserie peut en témoigner).
jeudi 27 novembre 2008
Beauduc paradise
Ci-joint la vidéo de Hugo que nous avons croisé cet été, qui est resté 10 jours sur la plage en autonomie complète, les images reproduisent assez bien l'ambiance générale :
Le crâne chauve ce n'est pas Olivier mais Dams, qui depuis le pauvre s'est pété les 2 genoux suite à un kiteloop de l'espace.
Le crâne chauve ce n'est pas Olivier mais Dams, qui depuis le pauvre s'est pété les 2 genoux suite à un kiteloop de l'espace.
mardi 25 novembre 2008
Copier/coller
Comme si nous n'avions pas eu notre dose, à l'exception du dentiste, nous prenons les mêmes ingrédients et suivons la même recette que le week-end dernier.
Direction trapèze samedi matin, il fait 2°C ça calme les ardeurs ! Ceux qui sont arrivés à l'heure s'échauffent au trampo, ou s'étirent. Finalement poussés par Jean-François et Olivier, le filet un peu trempé est tendu. C'est marrant et vivifiant, il "brumise" le visage lors des premières chutes.
Poussés par Alexis qui débarque tel un ovnis les cheveux mouillés en t-shirt, un nouvel élève qui a déjà bien pratiqué et un petit jeune qui n'en veut, Sigo daigne tenter quelques figures (il manque Alain pour la motiver encore plus). Tout le monde est un peu patau, mais il suffit de bien mettre ses gants avant de remonter l'échelle, visser son bonnet et ça le fait pendant 1h30.
Sans perdre une minute nous descendons directement au Grau du Roi, tergiversons en faisant un détour à l'Espiguette où malheureusement le vent est off (danger, il vient de terre), et attérissons au final à la plage sud de Port Camargue.
C'est l'embouteillage sur l'eau, alors que la température extérieure reste sous 10°C, au bas mot une soixantaine d'ailes décorent le ciel. Pendant que Olivier gonfle la sienne le vent baisse, il reprend 30mn puis retombe vraiment. Grosse galère, il veut aider un mec qui a perdu sa planche, résultat il se retrouve à rentrer à la nage.
Tandis que nous patientons en faisant des pauses "artistiques", n'y croyant plus trop (la plupart des kiters sont partis), d'un seul coup le ventilo repasse sur "on" en tournant de 45° et monte dans les tours de force 2-3 à 6-7.
En avant Olivier saute sur sa planche et se régale sur le spot presque déserté, il s'amuse à surfer les petites vagues au bord de la digue (surface de l'eau ainsi lisse car protégée). Sigo se réserve pour le lendemain et en profite pour mitrailler de photos, qui d'ailleurs sont très réussies. Dommage nous avons prévenu trop tard Delphine, elle ne peut nous rejoindre.
La nuit tombée, nous partons tester un nouvel hôtel repéré à Arles. Pour 5 euros de différence, le service n'a rien à voir avec notre dernière adresse, non seulement au niveau propreté mais aussi du petit-déjeuner avec confiture et compote maison, c'est décidé ce sera notre QG l'hiver.
Selon leurs recommandations nous allons dîner à "L'Escaladou", un resto de plats régionaux. Ayant la fringalle, nous nous laissons tenter par le menu basique qui nous tend la peau du ventre comme jamais. Entre la soupe de poissons, la rouille du pêcheur (calamars au curry), le guardian de taureau, la tarte au citron... pas de doute nous faisons le plein de calories pour affronter le froid.
Après un sommeil bien réparateur, sans trop se presser nous avançons vers Beauduc notre repère, difficilement nous nous extirpons de la voiture car dehors le thermomètre ne dépasse pas 4°C (sous abri). Nous retrouvons les 3 kaffeux venus la veille, qui sont sagement allés dormir chez des amis à Aix.
Les garçons mettent un premier pied à l'eau vers 11h, cagoulés pour la plupart. Fait rarissime ils sont moins de 10 dans la bassine, il faut dire avec ou sans protection aux mains rapidement elles attrapent l'onglet. Olivier sort à un moment pour récupérer, il est plié en 2 quand elles passent du glacé au brûlant ;-( c'est clair seuls les fadas naviguent, les mêmes au Lautaret d'ailleurs dans -15°C ce dimanche aussi.
Heureusement le soleil est généreux, Sigo qui n'a pas "froid aux yeux" sort le mtb sur le sable en 6m2. Sylvain du kiteshop nous fait un festival, déballant la panoplie il jongle avec aisance du twin-tip au mtb, puis surf, en gardant la même aile accrochée.
Le zef diminue petit à petit avec la lumière du jour, qui prend d'ailleurs des teintes extraordinaires. Nous avons l'honneur de quitter cette fois les derniers la plage, que nous ne retrouverons pas avant avril ou mai logiquement ?
Déjà la nostalgie nous gagne... lâchons-nous avec une nouvelle série de photos :
Direction trapèze samedi matin, il fait 2°C ça calme les ardeurs ! Ceux qui sont arrivés à l'heure s'échauffent au trampo, ou s'étirent. Finalement poussés par Jean-François et Olivier, le filet un peu trempé est tendu. C'est marrant et vivifiant, il "brumise" le visage lors des premières chutes.
Poussés par Alexis qui débarque tel un ovnis les cheveux mouillés en t-shirt, un nouvel élève qui a déjà bien pratiqué et un petit jeune qui n'en veut, Sigo daigne tenter quelques figures (il manque Alain pour la motiver encore plus). Tout le monde est un peu patau, mais il suffit de bien mettre ses gants avant de remonter l'échelle, visser son bonnet et ça le fait pendant 1h30.
Sans perdre une minute nous descendons directement au Grau du Roi, tergiversons en faisant un détour à l'Espiguette où malheureusement le vent est off (danger, il vient de terre), et attérissons au final à la plage sud de Port Camargue.
C'est l'embouteillage sur l'eau, alors que la température extérieure reste sous 10°C, au bas mot une soixantaine d'ailes décorent le ciel. Pendant que Olivier gonfle la sienne le vent baisse, il reprend 30mn puis retombe vraiment. Grosse galère, il veut aider un mec qui a perdu sa planche, résultat il se retrouve à rentrer à la nage.
Tandis que nous patientons en faisant des pauses "artistiques", n'y croyant plus trop (la plupart des kiters sont partis), d'un seul coup le ventilo repasse sur "on" en tournant de 45° et monte dans les tours de force 2-3 à 6-7.
En avant Olivier saute sur sa planche et se régale sur le spot presque déserté, il s'amuse à surfer les petites vagues au bord de la digue (surface de l'eau ainsi lisse car protégée). Sigo se réserve pour le lendemain et en profite pour mitrailler de photos, qui d'ailleurs sont très réussies. Dommage nous avons prévenu trop tard Delphine, elle ne peut nous rejoindre.
La nuit tombée, nous partons tester un nouvel hôtel repéré à Arles. Pour 5 euros de différence, le service n'a rien à voir avec notre dernière adresse, non seulement au niveau propreté mais aussi du petit-déjeuner avec confiture et compote maison, c'est décidé ce sera notre QG l'hiver.
Selon leurs recommandations nous allons dîner à "L'Escaladou", un resto de plats régionaux. Ayant la fringalle, nous nous laissons tenter par le menu basique qui nous tend la peau du ventre comme jamais. Entre la soupe de poissons, la rouille du pêcheur (calamars au curry), le guardian de taureau, la tarte au citron... pas de doute nous faisons le plein de calories pour affronter le froid.
Après un sommeil bien réparateur, sans trop se presser nous avançons vers Beauduc notre repère, difficilement nous nous extirpons de la voiture car dehors le thermomètre ne dépasse pas 4°C (sous abri). Nous retrouvons les 3 kaffeux venus la veille, qui sont sagement allés dormir chez des amis à Aix.
Les garçons mettent un premier pied à l'eau vers 11h, cagoulés pour la plupart. Fait rarissime ils sont moins de 10 dans la bassine, il faut dire avec ou sans protection aux mains rapidement elles attrapent l'onglet. Olivier sort à un moment pour récupérer, il est plié en 2 quand elles passent du glacé au brûlant ;-( c'est clair seuls les fadas naviguent, les mêmes au Lautaret d'ailleurs dans -15°C ce dimanche aussi.
Heureusement le soleil est généreux, Sigo qui n'a pas "froid aux yeux" sort le mtb sur le sable en 6m2. Sylvain du kiteshop nous fait un festival, déballant la panoplie il jongle avec aisance du twin-tip au mtb, puis surf, en gardant la même aile accrochée.
Le zef diminue petit à petit avec la lumière du jour, qui prend d'ailleurs des teintes extraordinaires. Nous avons l'honneur de quitter cette fois les derniers la plage, que nous ne retrouverons pas avant avril ou mai logiquement ?
Déjà la nostalgie nous gagne... lâchons-nous avec une nouvelle série de photos :
vendredi 21 novembre 2008
Gourmandise
Profitant d'une récup, Sigo aujourd'hui n'a pas amusé la galerie en cuisine, puisqu'elle a concocté une confiture orange/pomme au goût caramélisé, un délice...
... sans parler des gratins, l'un à la courge et reblochon, l'autre aux blettes et chèvre, la mini fondue au chocolat, youpi les calories mais maxi plaisir après la piscine.
... sans parler des gratins, l'un à la courge et reblochon, l'autre aux blettes et chèvre, la mini fondue au chocolat, youpi les calories mais maxi plaisir après la piscine.
jeudi 20 novembre 2008
On se rattrape
Vous disposez de 2 jours, et voudriez en faire autant qu'en 4, rien de plus simple suivez-nous...
Cela a commencé par vendredi soir et samedi matin, trapèze pour Sigo, dans le froid il valait mieux pour ses paumes de mains non cicatrisées.
En fait nous étions assez dépendants d'un RDV check-up chez le dentiste familial, sinon Olivier aurait sûrement fait pression pour passer directement à l'étape suivante.
Dans l'après-midi, nous avons donc mis le cap vers le Grau du Roi et sa plage de l'Espiguette. Cela nous démangeait d'essayer le mtb sur un lieu vraiment fait pour, à part que le vent était trop faible, mal orienté, donc l'espace de sable dur restreint.
Pas grave il faisait beau et presque chaud, le ballet des buggys autour était joli à voir, la vue sur la Grande-Motte paraissait presque belle, puis respirer l'air de la mer n'a pas de prix !
Le soir nous n'étions pas trop tentés pour dormir en tente, nous avons alors cherché un hôtel ouvert sur Arles, heureusement que le choix était varié et un peu de confort c'est agréable quelquefois.
Durant notre petit tour nocturne de la ville nous avons ainsi repéré les arènes, puis choisi le resto "La fée gourmande". Finalement nous avons été seuls et n'avons pas regretté (comme quoi, il ne faut pas toujours se baser sur le monde à l'intérieur), en ayant droit à un service personnalisé, avec description bien détaillée de chaque entrée, plat et dessert à en saliver d'avance.
Dimanche dès 8h petit-déj et direction Beauduc, sa demi-heure de piste qui vous laisse le temps de passer dans une autre dimension...
2 fois nous devons stopper, réfléchir au meilleur moyen de traverser des bras de flotte, dont la profondeur n'inspire pas trop confiance, mais ça fait partie du trip ce spot se mérite.
Nous retrouvons les kaffeux plus courageux que nous qui ont dormi sur place, Olivier bien sûr ne perd pas une minute, un bonjour à tous et déjà il gonfle 2 ailes en activant Sigo pour déplier les lignes. Pas la peine de regarder l'anémomètre ça souffle fort, à 10h il rejoint les plus matinaux sur l'eau.
Pas si longtemps après la miss suit, non stop jusqu'à ce qu'il soit nécessaire de se ravitailler un minimum. C'est le panard, pas grand monde dans la bassine comparé à cet été, nous pouvons baisser la vigilance pendant notre navigation.
Cédric et Kenny nous gratifient de véritables mises en orbite, Sigo travaille ses changements de bord et Olivier réapprend à sauter avec une aile au profil plat. Au large, nous nous amusons dans les vagues, dont certaines ne sont pas ridicules et nous rappellent l'océan.
Après la pause du midi, seuls quelques garçons et Sandra continuent, les plus frigorifiés font crépiter les appareils photo. Olivier avait prévenu qu'il se mettrait "minable", il sort le dernier quand le soleil décline, la banane scotchée au visage.
De retour à Lyon (la caisse dans un état pitoyable, boue + sel), nous consultons les sorties des grenoblois, nous le savions il était difficile de jouer sur les 2 tableaux, eux en ont profité en montagne.
Cela a commencé par vendredi soir et samedi matin, trapèze pour Sigo, dans le froid il valait mieux pour ses paumes de mains non cicatrisées.
En fait nous étions assez dépendants d'un RDV check-up chez le dentiste familial, sinon Olivier aurait sûrement fait pression pour passer directement à l'étape suivante.
Dans l'après-midi, nous avons donc mis le cap vers le Grau du Roi et sa plage de l'Espiguette. Cela nous démangeait d'essayer le mtb sur un lieu vraiment fait pour, à part que le vent était trop faible, mal orienté, donc l'espace de sable dur restreint.
Pas grave il faisait beau et presque chaud, le ballet des buggys autour était joli à voir, la vue sur la Grande-Motte paraissait presque belle, puis respirer l'air de la mer n'a pas de prix !
Le soir nous n'étions pas trop tentés pour dormir en tente, nous avons alors cherché un hôtel ouvert sur Arles, heureusement que le choix était varié et un peu de confort c'est agréable quelquefois.
Durant notre petit tour nocturne de la ville nous avons ainsi repéré les arènes, puis choisi le resto "La fée gourmande". Finalement nous avons été seuls et n'avons pas regretté (comme quoi, il ne faut pas toujours se baser sur le monde à l'intérieur), en ayant droit à un service personnalisé, avec description bien détaillée de chaque entrée, plat et dessert à en saliver d'avance.
Dimanche dès 8h petit-déj et direction Beauduc, sa demi-heure de piste qui vous laisse le temps de passer dans une autre dimension...
2 fois nous devons stopper, réfléchir au meilleur moyen de traverser des bras de flotte, dont la profondeur n'inspire pas trop confiance, mais ça fait partie du trip ce spot se mérite.
Nous retrouvons les kaffeux plus courageux que nous qui ont dormi sur place, Olivier bien sûr ne perd pas une minute, un bonjour à tous et déjà il gonfle 2 ailes en activant Sigo pour déplier les lignes. Pas la peine de regarder l'anémomètre ça souffle fort, à 10h il rejoint les plus matinaux sur l'eau.
Pas si longtemps après la miss suit, non stop jusqu'à ce qu'il soit nécessaire de se ravitailler un minimum. C'est le panard, pas grand monde dans la bassine comparé à cet été, nous pouvons baisser la vigilance pendant notre navigation.
Cédric et Kenny nous gratifient de véritables mises en orbite, Sigo travaille ses changements de bord et Olivier réapprend à sauter avec une aile au profil plat. Au large, nous nous amusons dans les vagues, dont certaines ne sont pas ridicules et nous rappellent l'océan.
Après la pause du midi, seuls quelques garçons et Sandra continuent, les plus frigorifiés font crépiter les appareils photo. Olivier avait prévenu qu'il se mettrait "minable", il sort le dernier quand le soleil décline, la banane scotchée au visage.
De retour à Lyon (la caisse dans un état pitoyable, boue + sel), nous consultons les sorties des grenoblois, nous le savions il était difficile de jouer sur les 2 tableaux, eux en ont profité en montagne.
mercredi 12 novembre 2008
4 jours en Drôme
Au grand damne de notre "maniacodépressif" de la bougeotte, nous nous étions engagés sur plusieurs plans autour de St Avit.
Samedi soir avait lieu le départ officiel et festif de nos copains Lemo et Romain aux Pays-Bas, dans leur minuscule appart de Grenoble au milieu des cartons nous avons ainsi pratiqué le tétris humain, rencontré des parapentistes devenus accrocs.
Juste avant, Sigo a pu se lâcher au cours de l'après-midi shopping à Marques Avenue, un bon prétexte pour faire le vide dans sa penderie.
Dès lundi le moral déjà très variable d'Olivier (l'ours en cage) en a pris définitivement un coup, quand il a dû tracer un trait sur l'infime espoir de faire du kite, le vent boudait, pas autant que lui qui nous a sorti sa tronche des plus mauvais jours, extinctions du son et de l'image.
Tout d'abord le trapèze pour Sigo était le fil rouge de ce long week-end, elle a pu balancer 3 fois, ses mains ont fait parler le "feu" en héritant de zolis "volcans".
Alain était fidèle au poste, Lise s'y est essayé un peu, Olivier très peu (juste le temps de se bloquer encore le côté droit des cervicales, confirmation que ce sport n'est pas fait pour lui, il vaut mieux contempler les pros), Vincent pas du tout, c'est dommage il ne saura pas ce qu'il a loupé.
Samedi soir avait lieu le départ officiel et festif de nos copains Lemo et Romain aux Pays-Bas, dans leur minuscule appart de Grenoble au milieu des cartons nous avons ainsi pratiqué le tétris humain, rencontré des parapentistes devenus accrocs.
Juste avant, Sigo a pu se lâcher au cours de l'après-midi shopping à Marques Avenue, un bon prétexte pour faire le vide dans sa penderie.
A la demande des havrais, dimanche après-midi nous avons grimpé non loin, au site "Les Roches qui dansent" plutôt réputé pour ses blocs.
Mis à part l'inconfort des chaussons d'escalade, cette activité leur a bien plu, Lise a su maîtriser son vertige sur des voies pas trop hautes, et Vincent nous a montré ses bras de musclor dans certains passages délicats... qui sait s'ils s'inscriront en Normandie, sachant qu'ils projettent de reprendre l'équitation ?Dès lundi le moral déjà très variable d'Olivier (l'ours en cage) en a pris définitivement un coup, quand il a dû tracer un trait sur l'infime espoir de faire du kite, le vent boudait, pas autant que lui qui nous a sorti sa tronche des plus mauvais jours, extinctions du son et de l'image.
Mardi midi nous avons déjeuné chez Joëlle et Gilles, ce dernier nous avait préparé un festin d'origine indienne, et Mamylène ses fameux choux à la crème, légère !
Fin de cet article abrégé, espérons faire mieux au prochain.
Fin de cet article abrégé, espérons faire mieux au prochain.
vendredi 7 novembre 2008
Handiriders
Pour en avoir discuté avec la "kiné familiale", Emilie, ce n'est pas une blague, le monde du kite s'ouvre depuis peu aux handicapés.
Son précurseur en la matière se nomme Christophe MARTIN, vous verrez d'ailleurs sur son site http://www.handikite.fr des photos et vidéos prometteuses, le développement de prototypes qui assureront de beaux jours pour cette pratique...
Son précurseur en la matière se nomme Christophe MARTIN, vous verrez d'ailleurs sur son site http://www.handikite.fr des photos et vidéos prometteuses, le développement de prototypes qui assureront de beaux jours pour cette pratique...
jeudi 6 novembre 2008
Cultivons-nous
Nous ne sommes décidément pas préparés à ce style de spectacle, qui vous laisse à la fin une impression d'avoir perdu son temps et ne pas tout comprendre...
Sans casser du sucre dessus, la présentation était :
Non, Sophie Perez et Xavier Boussiron ne “montent” pas Gombrowicz ou, s’ils le font, c’est à cru, s’emparant de l’œuvre comme on dompte une bête avec poigne, tendresse et un brin de sauvagerie.
Ces enfants terribles du théâtre et des arts plastiques posent sur l’œuvre de celui que l’on considère comme l’un des plus grands dramaturges du XXe siècle un regard renouvelé. "Gombrowiczshow” se présente comme un essai, une chronique ou une vaste allusion à l’ouvrage “Les Envoûtés”. Un show où est convoqué Gombrowicz sous toutes les coutures à l’occasion du quarantième anniversaire de sa disparition. La cie du Zerep offre une "fête à Witold" intense, profonde et déconnante ayant pour étrange mission de nous distraire.
En conclusion Olivier n'était pas emballé mais a trouvé que ça délirait bien, et Sigo était déçue car elle pensait que nous avions choisi un spectacle de danse, cherchez l'erreur ?
Sans casser du sucre dessus, la présentation était :
Non, Sophie Perez et Xavier Boussiron ne “montent” pas Gombrowicz ou, s’ils le font, c’est à cru, s’emparant de l’œuvre comme on dompte une bête avec poigne, tendresse et un brin de sauvagerie.
Ces enfants terribles du théâtre et des arts plastiques posent sur l’œuvre de celui que l’on considère comme l’un des plus grands dramaturges du XXe siècle un regard renouvelé. "Gombrowiczshow” se présente comme un essai, une chronique ou une vaste allusion à l’ouvrage “Les Envoûtés”. Un show où est convoqué Gombrowicz sous toutes les coutures à l’occasion du quarantième anniversaire de sa disparition. La cie du Zerep offre une "fête à Witold" intense, profonde et déconnante ayant pour étrange mission de nous distraire.
En conclusion Olivier n'était pas emballé mais a trouvé que ça délirait bien, et Sigo était déçue car elle pensait que nous avions choisi un spectacle de danse, cherchez l'erreur ?
lundi 3 novembre 2008
First snowkite session
Qui écoute la météo passe sa vie au bistrot... il fallait en effet y croire, mais Olivier avait la motivation pour 2, et en plus il était remonté comme une pendule car d'autres en avaient déjà profité ailleurs en fin de semaine.
1h après les kaffeux, samedi nous partons donc les rejoindre au Lautaret. Le ciel n'est finalement pas si nuageux, la neige pas si conséquente, le vent pas si démonté. Alors qu'un pro-rider teste une nouvelle aile et poste la 1ère vidéo du col pour la saison, les garçons s'équipent au bord de la ruine. Au bout de quelques bords, chacun jette l'éponge, le zef n'arrête pas de changer d'orientation sur un angle variable de 90° et par couches selon l'altitude (il suffisait de lever la tête pour observer des nuages circulant dans plusieurs directions différentes, du grand délire), il faut composer avec les rafales et rochers qui affleurent, le tapis blanc qui colle aux semelles.
La pause déjeuner nous pousse à jeter un oeil au spot de repli du Casset, mais pas un souffle, nous nous rabattons alors sur le plat devant la pyramide. Entre 2, Olivier a oublié et retrouvé son vieux surf spécial "cailloux" au bord de la route ! Histoire de sauver l'honneur, nous restons jusqu'à la nuit sous une fine pluie, les conditions se stabilisent un chouille et Sigo daigne sortir sa tête de la voiture pour essayer (pas longtemps).
Le soir et lendemain midi, Sigo est en grande forme aux fourneaux, à peine rentrée du marché dimanche elle concocte ainsi de bons petits et gros plats : pâtes au St Nectaire et brocolis, encornets au persil et à l'oseille, boeuf bourgignon et tagliatelles maison (avec notre machine qui n'avait pas servi depuis la Charente).
Regrettant d'avoir loupé le trapèze, elle accepte malgré tout une après-midi ballade en roller sur les quais (dommage, le soleil s'est vite recaché), 20 km quand même ça rigole pas ! Nous ne retenterons pas, car le revêtement n'est pas terrible et il fallait pas mal slalomer entre les marcheurs, coureurs, cyclistes...
NB. Une pensée pour nos copains Christine et Pacalou qui se quittent, ça fout un coup au moral ;-(
1h après les kaffeux, samedi nous partons donc les rejoindre au Lautaret. Le ciel n'est finalement pas si nuageux, la neige pas si conséquente, le vent pas si démonté. Alors qu'un pro-rider teste une nouvelle aile et poste la 1ère vidéo du col pour la saison, les garçons s'équipent au bord de la ruine. Au bout de quelques bords, chacun jette l'éponge, le zef n'arrête pas de changer d'orientation sur un angle variable de 90° et par couches selon l'altitude (il suffisait de lever la tête pour observer des nuages circulant dans plusieurs directions différentes, du grand délire), il faut composer avec les rafales et rochers qui affleurent, le tapis blanc qui colle aux semelles.
La pause déjeuner nous pousse à jeter un oeil au spot de repli du Casset, mais pas un souffle, nous nous rabattons alors sur le plat devant la pyramide. Entre 2, Olivier a oublié et retrouvé son vieux surf spécial "cailloux" au bord de la route ! Histoire de sauver l'honneur, nous restons jusqu'à la nuit sous une fine pluie, les conditions se stabilisent un chouille et Sigo daigne sortir sa tête de la voiture pour essayer (pas longtemps).
Le soir et lendemain midi, Sigo est en grande forme aux fourneaux, à peine rentrée du marché dimanche elle concocte ainsi de bons petits et gros plats : pâtes au St Nectaire et brocolis, encornets au persil et à l'oseille, boeuf bourgignon et tagliatelles maison (avec notre machine qui n'avait pas servi depuis la Charente).
Regrettant d'avoir loupé le trapèze, elle accepte malgré tout une après-midi ballade en roller sur les quais (dommage, le soleil s'est vite recaché), 20 km quand même ça rigole pas ! Nous ne retenterons pas, car le revêtement n'est pas terrible et il fallait pas mal slalomer entre les marcheurs, coureurs, cyclistes...
NB. Une pensée pour nos copains Christine et Pacalou qui se quittent, ça fout un coup au moral ;-(
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