C'est vrai nous avons oublié de vous dire, par notre AMAP au début nous disposions de légumes, ce sont rajoutés désormais le fromage de chèvres, des oeufs, fruits, de la viande (à fréquences diverses)... ne manque plus que du poisson, pain, d'autres fromages qui sait ?
Si vous cherchez à vous lancer, nous vous redonnons l'adresse.
Si vous cherchez à vous lancer, nous vous redonnons l'adresse.
Ainsi nous sommes partis près de Givors (moins de 30 mn au sud-ouest de Lyon), chez nos producteurs Karine et Thierry, qui nous ont réservé un accueil aux petits oignons.
Sigo connaissait, étant donné que ses parents détenaient une chèvrerie, quant à Olivier il était tel un gosse émerveillé devant ces bestioles à la curiosité attachante. Les mitraillant de photos, il écoutait sagement les explications détaillées, presque n'avait plus envie de repartir.
En voyant les gones (= les gamins en parler lyonnais) qui prenaient dans leurs bras les biquettes, cette animation pédagogique et ludique aurait beaucoup plu à Roméo ou Léa par exemple.
Durant 4h, avec une pause goûter au chaud, nous avons pu observer toutes les étapes, de la traite à l'affinage, en passant par l'alimentation mûrement réfléchie. Au final nous avons été contents d'apprendre que grâce à ce système de maintien de l'agriculture paysanne, nous leur évitons presque un marché par semaine, qui les oblige à courir sans arrêt et sans être certain d'écouler leurs produits.Le soir il a fallu "pédaler" à notre tour, car nous sommes rentrés limite ; heureusement que Sigo a assuré aux fourneaux et nous a mitonné de véritables plats sénégalais. Entre les mafé et yassa poulet, le jus de bissap en apéro, on se serait cru encore à Dakar, nos copains ont adoré... à refaire d'ailleurs, car nous avons promis aussi à Christelle et Florent un repas typique.
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