Jour de Noël, jour idéal pour une petite surprise, en faisant croire que nous arriverons en retard à cause de faux embouteillages ; finalement ce sont Aurore et Jérôme qui traîneront dans la salle de bains, pour nous sortir le grand jeu. Normal pour cette soirée exceptionnelle Roméo (qui a bien grandi) est excité, presque autant qu'Olivier au contact de son frère et sa belle soeur.En bordure d'autoroute nous avons vu le Massif Central tout blanc, cette neige nous tendait les bras, aussi belle que la déco dans la maison.
Suite à une coupe de Champagne rosé renversée, logique une nouvelle bouteille est ouverte, puis un vin blanc, un autre rouge...
Le repas est succulent, après l'apéro aux huitres l'entrée est composée de foie gras et figues, le plat d'une oie gigantesque aux marrons et pommes rissolées, le dessert d'une bûche chocolat/café entourée de fruits rouges.
L'estomac d'Olivier ne fait alors qu'un tour, et zoup 24h de diet s'imposent afin de se requinquer.
Le matin cela fait du bien de larver, jusqu'à 14h30 où une éclaircie apparaît. Nous décidons alors ensemble de sortir, faire le grand tour (2h) en passant par la pointe et ses bunkers avalés irrésistiblement par l'océan. Histoire de corser la ballade, nous emportons le mtb et une aile en croyant à une brise qui ne se lèvera pas, le matos est promené comme Rosalie (la chienne ;-).
Ca fait toujours bizarre de se promener l'hiver, la pollution n'est pas nettoyée chaque matin par les engins.
Vendredi il fait gris, il n'empêche chacun sort, Hélène et Yves au marché, Sigo compléter les cadeaux (et oui, nous étions en retard), Olivier glisser sur un sable trop mou et avec un vent mal orienté. Malgré le froid, son moral n'est pas galvaudé, après déjeuner il part à l'eau côté bassin où les conditions se renforcent (des claques à 20 nds). Au bout d'1h, la douleur au bout de ses doigts gelés l'oblige à stopper la rage au ventre, juste au bon moment lorsque la pluie débarque.
Grand soleil dès le lendemain, Jérôme nous a rejoint la veille au soir et part checker les vagues. Inutile de se presser, il doit attendre la meilleure marée, nous en profitons donc pour ressortir le mtb dans un vent trop faible et surtout une plage trop étroite (toujours pas assez de sable dur), pas grave nous faisons des dessins en barefoot tracté ;-)
L'après-midi Olivier en motive 3 pour le catamaran, finalement ils en feront presque 2h avec son père dans un vent idéal qui faisait longer la plage et permit de remonter plus facilement le bateau. Sigo qui supporte difficilement le froid doit capituler avec en plus un mal de ventre, chacun son tour.
Pour le dernier jour nous traînassons en préparant nos sacs, ou en réparant le matos de kite. Hélène nous fait encore un repas de grand chef, que nous digérons tranquillement au cours d'une ballade à vélos en allant presque jusqu'à la plage du Truc Vert.
Comme toujours il faut bien se décider à rentrer sur Lyon (cela prend 30mn en moyenne pour Olivier) ; nous mettons le même temps qu'à l'aller, 6h30 sans encombre et en respectant la limitation.
Suite à une coupe de Champagne rosé renversée, logique une nouvelle bouteille est ouverte, puis un vin blanc, un autre rouge...Le repas est succulent, après l'apéro aux huitres l'entrée est composée de foie gras et figues, le plat d'une oie gigantesque aux marrons et pommes rissolées, le dessert d'une bûche chocolat/café entourée de fruits rouges.
L'estomac d'Olivier ne fait alors qu'un tour, et zoup 24h de diet s'imposent afin de se requinquer.
Le matin cela fait du bien de larver, jusqu'à 14h30 où une éclaircie apparaît. Nous décidons alors ensemble de sortir, faire le grand tour (2h) en passant par la pointe et ses bunkers avalés irrésistiblement par l'océan. Histoire de corser la ballade, nous emportons le mtb et une aile en croyant à une brise qui ne se lèvera pas, le matos est promené comme Rosalie (la chienne ;-).
Ca fait toujours bizarre de se promener l'hiver, la pollution n'est pas nettoyée chaque matin par les engins.
Vendredi il fait gris, il n'empêche chacun sort, Hélène et Yves au marché, Sigo compléter les cadeaux (et oui, nous étions en retard), Olivier glisser sur un sable trop mou et avec un vent mal orienté. Malgré le froid, son moral n'est pas galvaudé, après déjeuner il part à l'eau côté bassin où les conditions se renforcent (des claques à 20 nds). Au bout d'1h, la douleur au bout de ses doigts gelés l'oblige à stopper la rage au ventre, juste au bon moment lorsque la pluie débarque.
Grand soleil dès le lendemain, Jérôme nous a rejoint la veille au soir et part checker les vagues. Inutile de se presser, il doit attendre la meilleure marée, nous en profitons donc pour ressortir le mtb dans un vent trop faible et surtout une plage trop étroite (toujours pas assez de sable dur), pas grave nous faisons des dessins en barefoot tracté ;-)L'après-midi Olivier en motive 3 pour le catamaran, finalement ils en feront presque 2h avec son père dans un vent idéal qui faisait longer la plage et permit de remonter plus facilement le bateau. Sigo qui supporte difficilement le froid doit capituler avec en plus un mal de ventre, chacun son tour.
Pour le dernier jour nous traînassons en préparant nos sacs, ou en réparant le matos de kite. Hélène nous fait encore un repas de grand chef, que nous digérons tranquillement au cours d'une ballade à vélos en allant presque jusqu'à la plage du Truc Vert.Comme toujours il faut bien se décider à rentrer sur Lyon (cela prend 30mn en moyenne pour Olivier) ; nous mettons le même temps qu'à l'aller, 6h30 sans encombre et en respectant la limitation.
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