dimanche 21 décembre 2008

Vivement l'océan

Cette année nous sommes plutôt à l'arrache sur les cadeaux, samedi matin était donc réservé au shopping, puis nous avons rejoint à midi Catherine qui avait besoin de réconfort et compagnie (suite à son opération). L'après-midi alors que Noé entamait sa sieste, Sigo a "enrubanné" des paquets, Olivier a fait ses "rapiéçages"... quand soudain une tuile a rebondi sur la vitre de la véranda. Super un sinistre de plus pour l'assurance, qui s'ajoute à la liste bien catastrophique des travaux de panneaux solaires.
Ainsi il a fallu monter sur le toit, dégager une autre tuile qui menaçait de tomber, et retendre l'arrimage des bâches qui protègent de fuites dans le toit. Ensuite nous avons démonté les toilettes sèches (qui n'étaient plus habitées par les frelons), et le soir au bout de 3 parties de Blokus sans demander notre reste nous nous sommes endormis.

Dimanche nouvelle tentative à Fond d'Urle, brouillard et vent de maso au programme comme le week-end dernier, nous descendons à Vassieux où le redoux a déjà fait pas mal de dégâts.
Poussé par Olivier qui a entendu dire qu'il existait un spot pas loin un peu vallonné, nous repérons finalement 3 ailes. En 10mn nous sommes sur la neige bien collante, pendant au moins 1h nous bataillons pour avancer en ligne droite, les rafales nous donnent de sacrés coups de butoirs, l'aile s'ouvre et se ferme sans prévenir. Sigo donne le signal la 1ère en rangeant son aile (ou disons en la pliant comme elle peut ;-) et en maugréant style "j'en ai marre j'arrête le kite", alors qu'elle vient de s'offrir un casque avec visière tip top la flambe.

Noé nous laisse un message indiquant qu'à Autrans le ciel est bleu et le vent souffle, sans hésitation nous reprenons la route.
Au début cela s'annonce correct, même si la peuf se transforme encore, le zouf plus léger reste irrégulier. A la fin cela devient énervant, surtout pour Olivier qui trouve le moyen de traverser toute la plaine jusqu'à la limite de Méaudre (6 km A+R), et met alors facile 30mn à revenir en tirant des bords sur un terrain assez marécageux (encadré par des ruisseaux). Enfin nous avons pris le grand air, il est important de po-si-ti-ver.

La semaine prochaine nous allons voir la mer, espérons que les conditions seront meilleures et l'eau pas trop froide ?

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Et ouais c'est dur comme métier "sécheur de linge" c'est bien ça non.

On vous confie du linge tout mouillé vous y accroché des ficelles et hop ...

quel métier, c'est beau l'artisanat quand même