vendredi 29 septembre 2017

Vires les straps

Je me suis décidé récemment pour sauter le pas en foil, diminuer aussi les risques de blessures. Le plus technique est le démarrage, car il faut non seulement maintenir la planche sur la tranche avec une main et avec l’autre main piloter son aile. Ensuite ce n’est pas trop compliqué je dirais, cela demande à être plus fin sur les changements de bord, l’avantage étant qu’en cas de grosse chute, les pieds ne sont plus attachés on s’éjecte plus facilement. J’avoue également que ce genre de vidéos montre la marge de progression encore possible, avant de s'ennuyer :


Ou encore celle d'un copain, qui habite sur le spot et a pris vite du niveau.

jeudi 21 septembre 2017

Beauduc en sursis

Ce n’est pas nouveau j’en ai déjà parlé, mais en ce mois de septembre les choses s’accélèrent, des travaux sont en cours pour éloigner encore les kitesurfers de la plage et les concentrer sur un parking à proximité des poubelles, génial ! Etant donné que tout s’est fait sans aucune concertation, une cagnotte a été organisée en urgence afin d’engager notamment des actions juridiques. Je reste assez dubitatif, car même si les 15000 euros ont été atteints en 15 jours, il y a eu seulement 258 participations, et je vous laisse faire le compte du don moyen/participant.

Le week-end dernier je me suis dit que je regretterais de ne pas y être allée, dormir au bord de l’eau, profiter de la session au coucher du soleil, du barbecue le soir… même si les filles préféraient la Drôme je me suis donc motivé à rejoindre une petite bande d’amis : les photos. Les conditions étaient light et parfaites en foil, ainsi qu’en tiki, un engin que j’avais essayé à Naussac. Cette fois c’est un autre pote qui m’a prêté son jouet, que dis-je son œuvre d’art (qui coûte entre 1200 et 1600 euros quand même)… une planche shapée en alaïa qui permet une glisse encore différente.

mercredi 13 septembre 2017

Sur un air de Ré

Pour ces 2 semaines de vacances, nous avons revu nos ambitions à la baisse… nous nous étions enflammés en projetant Rodrigues, mais les 20h d’avion avec correspondance, le vent qui n’est pas assuré, les vagues qui ne seraient pas phénoménales, la destination qui n’est pas si adaptée à un bébé d’après nos infos, puis mes parents qui n’avaient pas vu Adèle depuis longtemps, un besoin de se poser sans trop faire de kilomètres, pour respecter entre autres le rythme des siestes et nuits (déjà assez compliquées), nous avons choisi d’allier le Cap-Ferret et l’Ile de Ré.

La 1ère semaine le temps a été plutôt chaud, et s’est dégradé petit à petit, j’ai dû naviguer 2 fois en foil (dont une mémorable, où j’étais content que le jet ski vienne me secourir, car j’avais un peu joué avec les distances et limites du vent…), faire aussi 2 belles sessions en surf. La petite s’est bien amusée avec ses grands-parents, que ce soit au manège ou à l’aire de jeux, dans la piscine gonflable ou en bord de mer. Bien sûr nous avons pu voir ma sœur et mon frère, sans oublier Roméo lors de l’anniversaire de Lilou, ainsi que nos copains lyonnais/hollandais qui habitent maintenant à Bordeaux.

La 2ème semaine a été plus aléatoire au niveau météo, j’ai pu faire plus de foil, mais les spots n’étaient pas évidents pour que Sigo débute (shore break, plage réduite), et juste avant de partir une dépression m’a permis de profiter des vagues malgré une eau qui s’était bien refroidie. Le reste du temps nous avons profité de longues randonnées à vélo, en général chaque matin, des jeux et du poulailler au camping, et surtout de la yourte que nous avions loué pour un prix défiant toute concurrence (83 euros/semaine) grâce au CNAS de Chalon (CE du boulot de Sigo).

Pour terminer, nous sommes passés en terres charentaises visiter nos amis de longue date. Mon pote m’avait organisé une sortie VTT dimanche matin, c’était excellent il avait invité nos anciens copains grimpeurs, même si j’en ai bavé j’ai pu les suivre et cela m’a presque donné envie de m’y mettre. La reprise au boulot s’est faite tambours battants comme en partant ; enfin j’ai des cours en anglais 2 après-midi par semaine qui permettent de m’évader et finir plus tôt, sachant que je ne veux pas recommencer « l’esclavage » de l’été, la pression à outrance supportée.