jeudi 20 novembre 2008

On se rattrape

Vous disposez de 2 jours, et voudriez en faire autant qu'en 4, rien de plus simple suivez-nous...

Cela a commencé par vendredi soir et samedi matin, trapèze pour Sigo, dans le froid il valait mieux pour ses paumes de mains non cicatrisées.
En fait nous étions assez dépendants d'un RDV check-up chez le dentiste familial, sinon Olivier aurait sûrement fait pression pour passer directement à l'étape suivante.

Dans l'après-midi, nous avons donc mis le cap vers le Grau du Roi et sa plage de l'Espiguette. Cela nous démangeait d'essayer le mtb sur un lieu vraiment fait pour, à part que le vent était trop faible, mal orienté, donc l'espace de sable dur restreint.
Pas grave il faisait beau et presque chaud, le ballet des buggys autour était joli à voir, la vue sur la Grande-Motte paraissait presque belle, puis respirer l'air de la mer n'a pas de prix !

Le soir nous n'étions pas trop tentés pour dormir en tente, nous avons alors cherché un hôtel ouvert sur Arles, heureusement que le choix était varié et un peu de confort c'est agréable quelquefois.
Durant notre petit tour nocturne de la ville nous avons ainsi repéré les arènes, puis choisi le resto "La fée gourmande". Finalement nous avons été seuls et n'avons pas regretté (comme quoi, il ne faut pas toujours se baser sur le monde à l'intérieur), en ayant droit à un service personnalisé, avec description bien détaillée de chaque entrée, plat et dessert à en saliver d'avance.

Dimanche dès 8h petit-déj et direction Beauduc, sa demi-heure de piste qui vous laisse le temps de passer dans une autre dimension...
2 fois nous devons stopper, réfléchir au meilleur moyen de traverser des bras de flotte, dont la profondeur n'inspire pas trop confiance, mais ça fait partie du trip ce spot se mérite.

Nous retrouvons les kaffeux plus courageux que nous qui ont dormi sur place, Olivier bien sûr ne perd pas une minute, un bonjour à tous et déjà il gonfle 2 ailes en activant Sigo pour déplier les lignes. Pas la peine de regarder l'anémomètre ça souffle fort, à 10h il rejoint les plus matinaux sur l'eau.

Pas si longtemps après la miss suit, non stop jusqu'à ce qu'il soit nécessaire de se ravitailler un minimum. C'est le panard, pas grand monde dans la bassine comparé à cet été, nous pouvons baisser la vigilance pendant notre navigation.
Cédric et Kenny nous gratifient de véritables mises en orbite, Sigo travaille ses changements de bord et Olivier réapprend à sauter avec une aile au profil plat. Au large, nous nous amusons dans les vagues, dont certaines ne sont pas ridicules et nous rappellent l'océan.

Après la pause du midi, seuls quelques garçons et Sandra continuent, les plus frigorifiés font crépiter les appareils photo. Olivier avait prévenu qu'il se mettrait "minable", il sort le dernier quand le soleil décline, la banane scotchée au visage.
De retour à Lyon (la caisse dans un état pitoyable, boue + sel), nous consultons les sorties des grenoblois, nous le savions il était difficile de jouer sur les 2 tableaux, eux en ont profité en montagne.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

C'est quoi ces conneries
puisqu'on vous dit qu'il neige
faut arrêter les activités de barbie

bises

lionel