lundi 2 février 2009

Anniversaire Mamylène MURAT

Ce week-end nous avions 3 plans de prévus, le choix s'est donc fait en fonction des priorités : la famille de Sigo, qui nous réclamait facilement depuis Noël.
Etant donné que les environs de St Etienne, où avait lieu l'anniversaire, serait sur notre chemin du retour, malgré une météo moyenne nous avons alors tenté le col des Supeyres samedi. Pendant 3 bonnes heures, nous avons trouvé de quoi glisser, dans un vent un peu irrégulier, sur une couche de poudre un peu spongieuse, ainsi le spot a été colorié sur 40 km.

Sigo a commencé en skis, puis a repris confiance avec son nouveau snow... alors qu'elle bougonnait, en fin d'après-midi elle en était déjà à faire des courbes en switch (pied normalement devant placé derrière), l'aile dans le dos, décontractée, une main lâchée. Pendant ce temps, Olivier avec Guillaume et Peyo se jetait dans la pente pour planer, profitant du doux matelas lors des chutes à l'envers.

Avant de reprendre la route, nous avons rendu visite à Antoine, notre producteur de fromages de vaches attitré. Il était content, nous avions une commande globale (pour nos Amap'aux potes et nous) d'une 12aine de tommes et fourmes, cela rattrapait son marché calamiteux du matin où avec son frère ils en avaient vendu 4.

Le soir chez Véronique, la fête s'est prolongée jusqu'à 2-3h du matin, légèrement retardée par Jean-Luc qui venait de l'Ardèche et avait des cols enneigés à passer. Hélène pour ses 82 ans a eu en cadeau une orchidée, et surtout un voyage offert aux Etats-Unis pour aller voir son fils Didier, en espérant qu'elle voudra bien prendre l'avion ?
A retenir, Christian avait particulièrement la pêche, ce qui a occasionné des jeux de mots entre frères de haute voltige.

Au dîner nous étions 17, comme d'habitude chacun avait amené une partie du repas, plein de trucs bio délicieux, que nous avons terminé à 11 le dimanche midi. Entre 2, naturellement il était impossible d'échapper aux parties de tarot, scrabble, et le toc à la fin.
Nous nous sommes détendus, sans aucun regret puisque dehors le ciel n'était vraiment pas attirant, et les champs ne paraissaient pas assez dégagés pour nos ailes en mouvement.

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